Le désert

Je glissais le parchemin dans ma sacoche de transport, et continais mon chemin... Je ne rencontrais rien d'autre jusqu'à la nuit... Celle-ci tombée, ayant trouvé un petit coin a l'abrit d'une éventuelle tempete de sable, j'allumais un feu a un endroit ou il semblait déjà avoir eu un feu qui brulait... Je m'y réchauffais, car les nuits étaient particulièrement glaciales dans le désert... Restant à l'ffut du moindre bruit, ne dormant que d'une oreille, je sombrais dans les rêve... Ou plutot les chauchemars...

Du sang !!!!! Il y a du sang partout ! ! ! ! Beaucoup de sang ! ! ! ! Je dois me vanger de la mort de nos parents. Quoi ? Tu.... Non ! ..... Attend.... Je te retrouverais, mon frère..... Tu m'a abandoné.... Nos parents aussi.... Tu vas mourrir... AAAAAAAAHHHHHHHHRRRRRGGGGGGGGGG !!!!!!!!

Je me reveillais en sursaut... Je viens de comprendre ! ! Je fais ce meme cauchemar toutes les nuits, et ce soir, il est devenu plus clair... Je ne comprenais rien avant, mais maintenant, je vois... C'était une scène avec mon frère Nathéon, il y a bien longtemps... Mais... Je ne me rappelle plus... Je dois me souvenir de ce rêve... Il le faut...
Je n'arrivais plus a dormir de toute la nuit, et resté eveillé, en méditation... Le lendemin matin, après un petit déjeuner copieux (et oui, ca aide la magie ! ^^), je repris chemin dans la grande pleine du désert, craignant que mes peurs concernant mon frère ne soient fondées...

[J'attend ton poste Boumli...]

je ne croit pas avoir dit qu'il y avait une source ?

Tu continua ton chemin et tu pris rapidement la direction d'une montagne que tu voyai un peu plus loin

[Je suis désolé, je ne savais pas que j'étais surhumain et que je pouvais vivre sans boire... Enfin, j'ai enlevé cette partie genante de mon poste, et on va dire que je fais apparaitre l'eau comme par magie... Faut etre un peut logique non ? C'est comme la, tu me dis que je vais vers la montagne, mais comment ne pas créer de lieux si tu ne donne pas plus de details ? Je ne peux rien répondre moi ! ! Si je fais une bourde, ne m'en veux pas.. Je suis pas encore assez bon en JDR pour ca... J'ai pas encore fait assez de quettes...]

La montage semblait verte de part et d'autre ce qui semblait étrange dans un désert... [d'ailleur, il n'y a pas de montage a ma connaissance dans un desert arride comme celui la... Elle est haute ou pas ? J'en vois le bout ? Tout ca c'est important, je dois savoir ce que voit mon perso Boumli !] J'arrivais au pied de la montagne et regardais autour de moi pour trouver avec un peu de chance cette créature...

Pour une fois tu ne te plante pas oui la montagne est verte tres grand avec plein de caverne a sa surface
Ps pour info les rafscorpion sont des scoprion modifier magiquement qui peuvent avoir jusqu'a a mille fois la taille d'un scoprion norma

La nuit commenca a tomber tu trouva une petite oasis qui te permit de remplir tes reserve d'eau, tu ne sais pourquoi mais tu savai que tu était pret de scoprion

Je commencais a gravir la montagne... J'arrivais dans une caverne, qui semblait sombre vue de l'extérieur... Je m'approchais, et y entrais...

Cette caverne n'était pas aussi sombre que tu le pensais, en effet de petite torche bruler acroché a parois de la caverne, au fond de celle-ci tu vit une couche crasseuse, une table remplie de papier et de bouquin (pas le grimoire de Calata le gris) et dans un coin une armure complete avec épée et boucliers. Des tetes et de queues de scorpions geant. Pour sur cette caverne était habité .

Je devais savoir ce qui s'y passait.. Je continuais mon chemin entre ces murs éclairés par des torches...

Tu continua de fouiller le caverne mais tu ne decouvrir rien d'autre, quand tu decida enfin qu'il etait temps de partir la nuit était tomber dehors et une tempete de sable fesait rage, il est plus sage de rester a l'abris dans la caverne .

Je restais donc dans la caverne pour la nuit... Je m'allumais un petit feu de bois, et m'assoupi, devant les flammes

A ton reveil un homme se tenai devant toi, il était tres grand,musclé et il te dit

QUE faite vous dans ma caverne noble mage?

Je me relevais de toute ma hauteur, pour me mettre à son niveau.

Bonjour noble étranger. Excusez moi, je ne voulais pas empiéter sur vottre proprité. Je suis à la recherche de queues de radscoprion et on m'a dit que je pouvais en trouver dans le désert. Malheuresement, je me suis fait surprendre hier au soir par une tempete de sable, d'ou ma fuite inévitable dans votre... Caverne.

Peut etre pouvez vous me dire ou je pourrais me procurer ces queues ?

L'homme te regarda et il sorti de sa poche une queu de scorpion mais qui devai faire dans les 1 metre de long

-TU vois magicien c'est cela une queu de radscorpions je veut bien t'en donner mais tu doit pour cela te rendre a Nardag, la ville maudite, et trouver le cadavre de mon ami, le pretre d'Alestar, il se nomme Alema, sur son coprs tu trouvera un tas d'objet, tout sera a toi sauf une orbe de couleur rouge, si tu me l'a raporte je te donnerai des queue Ok?

Je ne savais pas ou tout ca aller me mener, enfin, je n'avais pas le choix.

C'est d'accord. ou est cette ville ?

Nul ne le sait ! Mais je peut te dire ce que je sais

Il est écrit dans les livre qu'elle se trouve au bout d'un croissent de lune mais personelement je ne comprend pas tres bien

Puis l'homme pris deux bout de bois et alluma un feu pour se faire cuire quelque chose a manger

Je pris donc la direction de cette ville...

Keshin:
[n'oublie pas que tu est accompagné par des loups, le chef et deux de ses congenerent]

Citation :: cela fesait maintenant plusieurs jours que vous marchiez dans l'immense desert, sans jamais broncher n'y raller, pourtant, les provisions commencais a se faire rare, vous aviez but la plupart de votre eau, et si sa continuait comme sa, il n'y en aurait bientot plus, resigné, vous avanciez quand soudain un de loups s'arreta, (le chef)
Intrigué, tu lui demanda se qu'il y avait, il repondit qu'il sentait une odeur, de nourriture a quelques lieux d'ici, un campement nomade, silencieusement, vous vous approchez de se campement, a l'interieure, d'une tente, des reserve d'eau et de nourriture, elle est gardé par plusieurs homme armé de sabre, plus loin, il y a une fete, des cris de joie et d'allegresse retentisse pres du feu.
Au dessus, un petit peu a l'ecart du feu, vous pouvez apercevoire un homme dans une cage.
Le loup se tourne vers toi et demande

"que fait on?"
[rappelle nous somme en pleine nuit, les pouvoirs des loups son donc actif.]

Tarabas:

Citation :: Le rodeur eut un mouvement calme, et net, alors que deux des gardes étaient soudain entourrés d'un cercle de feu. Disparaissant dans la nuit, tel un fantome, il réapparrut dans le dos d'un autre garde, avant de le frapper avec violence de sa lourde épée batarde, pour pouvoir se tourner vers ceux restant, alors que les loups dérobaient les provisions, et l'eau.

[Voila les deux derniers méssages de la quête, je la reprend car elle concerne l'histoire des terres de Gala en elle même et est donc assez importante.
Tarbabas, si tu veut revoire le but de ta mission, c'était dans les quartier pauvre de Galtorna les habitations, une maison d'un père et de sa fille je crois.]

[Bon voila la réponse:]
Les deux garde s'éffondrairent, n'ayant même pas le temps d'avertire les autres, plusieurs choix s'ofrrais à toi, attaquer le reste des pillards, ou partire sans te faire repérer avec les loups et les provisions, les loups t'attendaient un peut plus loin dans la nuit, regardant visiblement ta déscision.

Le rodeur aimait les massacres inutiles, mais il ne se voyait pâs assaillir à lui seul une troupe armée. Calmement, il se camouffla dans les ombres, marchant à pas fleutrés jusqu'à la torche la plus proche, tandis que les loups saisissaient les provisions, et l'eau tant désirées.

Une fois une torche trouvée, Tarabas eut un sourrire machiavélique, et s'approcha des tentes de toile, regardant avec soin ce qui se trouvait à l'interrieur.

Les loups partirent un peut en avant.*

tu regardait à l'intérieur de la tente, la tu vis un étrange vieillard ligoté, et juste a coté de lui un coffre entouré de pierre qui était posé au sol tout autour.

Le vieille homme te voyant, ses yeux s'écarquillaire de surprise.

Tarabas observa le vieillard, et s'avança avec des gestes souples et experts avant de lui faire signe de se taire. Calmement, il inspecta le système de fermeture de la prison, et demanda d'une voix calme:

Dîtes moi, d'habitude quand on met les gens en cage c'est pour une bonne raison....vous me dites quelle est la votre, et je vous fais sortir, ça vous va?

l'homme regarda Tarabas semblant le juger, puis répondit:

"Bien... de toute manière je n'ais pas le choix, je m'appelle Arhun N'yracta Foldor Cantaga, mais vous pouvez m'appellez Arhun."

Les yeux de l'homme pétillait d'intelligence

"Ne croyez pas que j'ignore qui vous êtes, Tarabas le sanglant c'est bien sa? je vais vous faire confiance, de toutes manière, vous auriez tout a perdre a me tuer, je suis un Alchimiste, et c'est pour cette raison que ces pillard m'on enfermé. Dans se coffre se trouve divers potion de mon invention ainsi que quelques objets magique.
Libérez moi, et je vous ouvrirais se coffre. Les pillard m'on enfermé pour profiter de mes inventions."

Le rodeur eut un large sourrire: l'alchimie ne lui était pas totalement inconnue, sa mère ayant été guérisseusse, et il savait quels pouvoirs il pouvait en tirrer. Pourtant, il fallit une divertion, le temps qu'il libère le vieil homme.......
Ses yeux pétillèrent d'un cruauté sans limitte, et il s'éloigna en vue d'une tente à l'interrieur de laquelle dormait des enfants. Ceci ne fut pas difficile à trouver, étant donné l'aspect du campement, et il projetta la torse sur la toile inflammable, avant de s'élancer dans la nuit.

Les hurlements de terreur des nomades, et les cris de désespoir des femmes, et des enfants tinta comme une douce musique à ses oreilles alors qu'il frappait avec violence le lourd cadena de fer.

au bout de quelques minutes, le cadena céda sout les coups de tarabas, l'alchimiste eu un sourire et dit:

"Attention, les rune qui entoure mon coffre son magique, mais nous devons récupérer se qu'il y à dedans, il faut les déplacer dans le bon ordre pour enlever le cercle de protection."

Les runes avait des simboles bizzare que tu n'arrivait pas a lire, apparement c'était la langue de la ville de janaaro, l'alchimiste repris:

"Je pe m'en occuper, mais il me faut un petit peut plus de temps."

Le sombre guerrier pesta, et tirra lentement sa lame du fourreau, espérant sans grand espoir que les flammes retiendraient suffisement les nomades. Finalement, il s'installa dans l'ombre et épia les allez et venu des pillards, occupés à éteindre l'incendie, et à sauver leurs enfants des flammes.

L'alchimiste regardait les runes depuis plusieurs minutes avant de commencer à deplacer la première en retenant sa respiration.
Il souffla quand il vie que rien ne s'était passé, respirant beaucoup mieux.
puis il commanca à s'interesser à la deuxième rune.

Soudain un nomade passa la tête à travers la tente, pour voire si le prisonnier était toujours à sa place.
Une expression de surprise se lut sur son visage alors qu'il commencais à crier Alert.

Avant même que le cri n'ait franchit ses lèvres tachées de sable, le sombre rodeur avait bondit, et les ongles s'étaient plantés habilement dans la gorge du pauvre homme qu'il souleva au dessus de terre. La peur qui se lisait sur le visage de celui-ci contrastait avec la folie lisible sur celui de L'Innomable qui posa lentement son épée sur le ventre du nomade terrifié, avant de l'embrocher avec une lenteur extrème.

Mais déjà plus loin des cris de guerre se faisaient entendre, et d'autres nomades menaçaient de jaillir à tout instant. Pestant contre son manque de chance, le guerrier acheva sa victime en lui arrachant la traché d'un coup de dents, puis le leva au dessus de lui pour le projetter sur les premiers assaillants qu'il percevrait.