Le chantier

OniRyu observa attentivement son entourage...
C'est endrois était t-il le port ? Non, plutôt le chantier navale apparament...

Le samouraï soupira lourdement, il n'avait débarqué dans cette ville étrange que depuis 2 heures et il avait déjà trouvé le moyen de se perdre...

De plus, l'eau était loin d'être son élément préféré, très très loin de la en fait...l'eau salé encore pire, son armure était déjà assez rouillé comme ça, pas la peine d'en rajouter.

IL posa la main sur la garde de son sabre nouvellement vol...euh...acquit suite à sa "démission" auprès de ses anciens patrons...pas comme si ces bandes de démocrate obèse en avait un usgae de toute manière.

Laisser une telle oeuvre d'art et de mort rouiller sur une étagère aurait été un véritable sacrilège...

S'arachant à ses pensé, il avisa un vieux pêcheur en train de s'addoner à son occupation...pêcher quoi...

Décidant que de toute manière sa situation ne pouvait tous simplement pas empirer, il décidé de s'addresser à lui.

-Excuse moi Ojii-san, pourrais tu m'indiquer l'emplacement d'un férie qui pourrait me ramener à terre ? Demanda t-il poliment.

le pecheur se retourna, sa canne a peche pendant sur ses epaules, il parut surpris un instant puis, il repondit

"bien sur m'sieur, mais ici v'savez tous ce payent, vous desirez allez ou?"

Puis il attendit la reponse de OniRyu sentant tres bien qu'il allait peu etre faire une bonne affaire, un nouveau pigeon à deplumer...

OniRyu sursauta imperceptiblement...est-ce que Ryuken venait de trembler dans sa main ?

Voyant que le vieil homme attendais sa réponse, il se reconcentra sur lui, repoussant à plus tard l'éventuel possibilité que certaine histoire à dormir debout courant sur sa nouvel lame ne soit vrai.

-Je n'ais pas de destination précise, le port le plus proche sera parfait mais malheureusement, je ne possède pas beaucoup d'argent...

*Exepté 500 gallions que j'ais volé en même temps que Ryuken, mais ça tu n'as besoin de le savoir Ojii-san* Songea t-il, camouflant parfaitement ses pensée derrière le masque d'indiférence qu'était son visage depuis bientôt 17 ans.

-Par contre, je suis un talentueux épéiste, je pourrais donc servir de garde contre pirate et monstres marins le cas échéant...connais tu quelqu'un qui pourrait être intéressé ?

le marin hesita un instant avant de repondre

"et bien... il est vrai que sa pourra toujours nous etre utile un bon combattant, j'ais un marche a te proposer, vois tu je connai quelqu'un qui me doit de l'argent mais qui n'a jamais voulus me le rendre, si tu le force, je me debrouillierais pour de trouver un embarcation"

[avoir 3000 galions des le debut ? hmm je ne sait pas tros normalement on commence avec 500...]

*Extorsion...quel douce musique à mes oreilles...*

Un froid rictus étira les lèvres du samouraï.
Après avoir servi pendant plusieur années pour un seigneur mafieux, ce genre de travail était devenu une seconde nature chez lui.

Et d'un autre coté, il ne se doutais désormais plus du tout de la véritable nature de cet "innocent" pêcheur, la lueur brillant dans le regard du vieil homme étant sans équivoque.

Certaine choses, comme les mafias par exemple, semblaient être universel...

-Marché conclu ojii-san, qui est la cible et ou pourrais-je la trouver ? Demanda t-il avec professionalisme.


[Si tu veux, je peux éditer mon message, je n'ais vu aucune indications pour une limitation d'argent, alors j'ais décidé d'improviser...]

[c'est vrais que je ne l'ais pas precisé dans le reglement, autant pour moi je vais modifer sa tout de suite =) tu a 500 galions]

"et bien c'est une personne influente, qui sejourne dans le palais du gouverneur, dans le quartier riche, de Galtorna, il doit etre dans sa chambre, il se nomme Roakali, remene moi les 1000 galions qu'il me doit et je me debrouillerais pouir te trouver un moyen de transport. je t'attendrais ici."

*Certaine personne on vraiment tendance à me prendre pour un abrutis...bah, c'est à mon avantage au finale, mon ancien "maître" en est la preuve parfaite...il n'a compris qu'au dernier moment que sa parfaite petite machine à tuer n'était pas si complésante que ce qu'il croyait...*

Il hocha une dernière fois la tête et serra la main du vieu pêcheur pour sceller leur accord, gardant en réserve le fait qu'il comptait bien récupérer une commission pour ce travail.

-Très bien, ou pourrais-je trouver un navire pour cette Galtorna ? Nous sommes en pleine mer après tous, je ne risque pas de marcher jusqu'à une ville sur la terre ferme...

Ryu baissa les yeux...

*C'est quoi ce truc ? Un chat ? Il ferait une bien meilleur serpillère...Huh ?!*

Le ronin se tendit imperceptiblement...il y avait quelqu'un d'autre à proximité...en train de...sanglotter ?

Le viel homme se leva brusquement et bouscula les caisses, révellant une gamine qui avait certainement vu des jours meilleurs.

-Sale petite... Commença le pêcheur louche.

-Laissez...elle est avec moi... Répondit durement le samouraï. Vous n'avez pas répondu à ma question...ou puis-je trouver une embarquation pour la terre ferme ?

Le samouraï se plaça entre le pêcheur et la gamine, le chat continuant de se frotter contre lui.

*Dans quel merde me suis-je encore fourré ?*

S'excusant auprès du pêcheur après avoir réglé quelques problèmes, tel que s'assurer de ne pas se faire engager dans un équipage de pirates "par erreur" (Ryuken s'étant révellé un superbe détecteur de mensonge), OniRyu s'élloigna du vieil homme, tenant la gamine par la main.

S'engageant dans une ruelle à proximité, il la lâcha alors et s'assit sur une caisse, la dévisageant d'un air accusateur, exacte réplique de celle du père en train de gronder ces mômes.

-Sérieusement gamine...tu as eu de la chance que je soit la ou t'aurais été dans une sacré merde...enfin, c'est quoi ton nom ? Demanda-t-il en se relaxant quelque peu.

La petite fille restait terrifiée, et lorsque l'homme s'apprcha elle poussa un gémissement plaintif. Immédiatement le chat se dressa, toutes griffes dehors, miaulant, et piffant comme un véritable fauve, avant de se dresser comme une barrière vivante pour protéger sa jeune maitresse. Celle-ci sembla se rassurer de sa présence, et le caressa avant de dire:

Je m'apelle Mary, et je suis perdue. J'ai froid, et j'ai faim....

Disant celà elle exprima une moue plaintive à faire fondre un golem de glace, et une petite larme argentée perla sur sa paupière.

*Gnn...puppy eye ? Je hais cette capacité...naaaaaan...me regarde pas avec ces yeux de chient battut...*

OniRyu soupira lourdement, se maudissant d'avance pour ce qu'il s'apprétait à faire...

-Tu veux que je t'achète quelque chose à manger ?

Pour la...hum...100ième fois depuis qu'il était dans cette ville, le samouraï se maudit intérieurement...était il en train de laisser son coeur de glace fondre ? Argh...mauvais idée...

*Maintenant si cette serpillère pouvait arrêter de cracher comme si j'allait le bouffer lui et la gamine, ça m'arrengerais...*

Les yeux de la petite fille brillèrent comme mille étoiles dans la nuit, et un grand sourrire se dessina sur son visage:

Vous feriez ça monsieur? Vrai de vrai? Sans rien demander?

Sans hésiter un seul instant elle lui sauta dans les bras, se serrant de toutes ses maigres forces contre le samourais immobile d'étonnement:

Merci, merci, merci, merci, merci, merci, merci.....

OniRyu retin un soupire et passa un bars sous le fesse de la gamine pour la porter et pris le direction du bateau village des pirates, plus précisément de la taverne, la serpillère le suivant pas à pas.

Le samouraï ne remarqu'à même pas que sa lame avait lentement commencé à émettre une douce chaleur réconfortante...


OniRyu & Mary ====> Taverne du borgne

plusieur marin s'affairait sur un bateau qui apparement n'allait pas tarder a prendre la mer.

Le capitaine parlait avec le pecheur

Alors? il vient oui ou non cette homme qui doit te rendre un "service..."? comment a tu dit qu'il s'appellait? oniryu?

-oui c'est sa...

-j'ais quand meme une question, comment va tu etre sur qu'il va respecter son pacte?

-et bien... si il ne veut pas avoir la guilde des assassins a ses trousses...

-c'est toi qui le sent... enfin il ne manque plus que lui et on part.

Takeo se rendit sur le chantier des pêcheur en espérant que quelqu'un pourrait lui fournir des renseignements. Il se dirigea vers l'un des artisants et lui adressa la parole :

"Exusez moi, connaîtryez vous un dénomé Rudolf ?"

"Nan jamais entendu parler"

Il retourna au travail