La forêt noire

La forêt est un lieu ou les arbres sont tres raprochés les uns des autres, ce qui peu etre tres utile pour semer un poursuivant, mais aussi très dangereux, c'est un lieu parfait pour une embuscade par exemple.

Les loup courrait a travers les bois a une vitesse fole, mais ils laissait de multiple trace sur leur passage.

Invité

Cronos courait a toute allure, suivant les traces et l'odeure des loups.
Au bout d'un moment ils les vit juste devant lui et le nain.

*ouf nous les avons ratraper*

Les loups firent voltent face

meme si vous nous tuer, les assauts continurons, je vous propose un marché, suiver nous jusqu'a la taniere de notre seigneur, la le plus fort d'entre vous se battra contre le plus fort de nos loups, si nous perdont, nous partirons, mais si nous gagnons, vous mourrez...

Invité

Cronos fut étoner de la proposition, il regarda le nain et finalement accepta la proposition des loups.

"J'accepte mais cependant le nain devra combattre a mes coter! nous ne somme que de simple humain et vous de puissant loup alors si votre chef est vraiment puissant cela ne devrai posser aucun probleme."

Les loup le regardaire

vous discuterer de sa avec notre seigneur en personne, suiver nous...

les loups partire suivit des deux combattants

[Direction l'antre des loups]

[Difficile de vous suivre, vous allez un peu vite]

Le rodeur suivait les loups et les hommes en silence, tachant de se cammouffler dans les broussailles, et serrant entre ses mains sa longue épée batarde. Il y avait donc un seigneur des loups, interressant......
D'un pas leste il les devança jusqu'à l'antre, et se cammouffla à nouveau.

Invité

Je commençait à traverser la forêt, dense et épaisse à souhait:

"Est-ce que tu reconnais quelque chose?"

La petite fille secoua lentement la tête de droite à gauche, tandis que les arbres projettaient doucement dans le vent frai leur essence parfumée. Trottant comme un petit chien, Guigou ronronnait, frottant sa queu longue et soupple contre les troncs allentours.

Soudain un craquement résonna, et Mary serra le bras de Sparda en poussant un cri aigu, tandis qu'une sombre silhouète se dessinait dans les fourrets.

Invité

"Lache mon bras et va en arrière avec Guigou s'il te plait."

J'étais moi même perplexe en voyant cette silhouette. Je me préparer pour me battre à main nu pour l'instant, vu que j'étais hésitant à tuer de sang froid. Mary et Guigou se mirent derriere moi:

"Vous etes qui vous?"

Un grondement terrifiant se fit entendre, alors qu'une créature massive recouverte de poils longs, et dures, jaillissait d'un buisson. Ses petits yeux jaunes injectés de sang, et ses dents longues et affutées laissaient prévoir une bataille sanglante. Il ne mesurait pas plus de deux mètres de longs, et d'uhn mètre de haut, mais possédait quatres énormes pattes griffus, et recouvertes d'écailles rouges.

Frottant ses griffes sur le sol il poussa ujn second grondement terrifiant, alors que la petite fille se pelottait contre son chat, en tremblant;

Invité

"MARY! CACHE TOI!"

Je ne put hésiter une seconde de plus. Cette créature veut se battre? Et bien elle va se battre. Vu sa grosseur, je pense qu'elle est assée lente. Je me précipite vers elle pour lui mettre un coup de coude dans le creux de la cage torassique.

(C'est un endroit où, une voie qu'on tape suffisament fort, l'adversaire à le souffle couper et a énormément de mal à s'en remmettre)

Le monstre bondit en arrière, esquivant l'attaquie sans mal, avant de pousser un second hurlement terrifiant. La petite fille, tétanisée, restait immobile, et Sparda dut reculer, voyant le monstre bondir sur lui.
C'est alors que Guigou plongea en avant, miaulant, et pestant avec sauvagerie devant la créature qui faisait plus de 10 fois sa taille, et sortant les griffes, et les crocs dans une attitude des plus menaçante.

Le monstre ouvrit la gueule, devoillant ses dents blanches, et accérées...puis se recroquevilla comme une tortue, en émettant un petit gémissement plaintif de terreur.

Invité

J'étais surpris de cette attitude:

"Un monstre doit avoir la déscence d'éviter de braire! Et surtout devant un petit chat tout mignon!"

Je me retournit vers Guigou:

"T'es vraiment un sauvage pour lui faire peur comme ça!"

Le chat hémit un doux ronronnement, et se pelotta contre le démon, la queu battant le vent avec lenteur.
Mary fit un pas en avant, puis un deuxième, et posa une main douce vers la créature qui cessa de trembler, la lui lappa, et s'éloigna en hâte dans les fourrets. La petite fille éclatta d'un rire clair e, bondissant des les bras de Sparda, avant de se serrer contre lui:

Vous êtes un héros monsieur démon....vous m'avez sauvée.....

Invité

"C'est plutôt Guigou qui faut remercier! Apparrement cette drole de créature à peur des chats!"

Je réfléchissait également au moyen de ramener Mary chez elle:

"Ecoute Mary! Je vais te prendre dans mes bras et m'envoler un petit moment comme ça tu pourra me dire si tu reconnais un endroit. Dacord?"

La petite sembla en accord avec moi. Je la prix dans mes bras, elle prit Guigou dans les siens, et je m'envolais au dessus des arbre. Nous voyons sans mal toutes les villes et lieu connu des environs:

"Tu reconnais quelque chose?"

Invité

La petite fille disait ne rien reconnaitre. Je commençais à me demander si elle ne le fesait pas exprés:

"Il va faire nuit! On va faire un feu et nous reposer, daccord?
-Oui Monsieur!"

Je me poser sur le sol, reposa délicatement Mary et fit un feu:

"Je vais chercher de quoi manger! Tuvas rester ici s'il te plait.
-Mais il y a des animaux dangeureux!
-T'en fais pas, ils ont peur du feu."

Je partit à la recherche de nourriture. En quelques minutes je put amener asser de fruits pour nous trois. Avec mon épée, j'en éplucher quelques uns et les coupa en petit morceaux pour Guigou. Nous rigolions, Mary et moi, en voyant le petit chat s'amuser avec les morceaux avant de les mangés.

Le repas terminer, la petite se coucha vite fait. Je la recouvrit de mon manteau pour qu'elle n'est pas froid:

"Bon. Faut que je surveille moi."

Mais trés vite, le sommeil me rattrapa.

Invité

Je me réveille en sursaut. Le feu était etteint et Mary n'était plus là:

"MARY! MARY!"

Je n'eu pas de réponse. Une petite fille qui disparait en pleine forêt, et sans laisser de trace:

"C'est pas possible!"

Puis je trouver un petit message dans la terre, fait avec un baton:

"Au revoir monsieur. Je rentre chez moi."

J'étais un peu rassurer, mais également inquiet.. Il y avait tellement de danger dans une forêt. Je pris la décision de continuer ma route à l'extérieur des villes.

Le volcan de Tarnoc

» La foret inconnue [1]