Le port

des bateaux, des milliers de bateaux s'étande a pèrte de vue, ici, la pluparts de la population sont des marins, mais il arrive que un aventurier partant pour une quêtes, un brigand recherché s'exilant ou d'autre personages passent par ici.
le nombres de navirs par rapport au nombre de gardes en fait endroit parfait pour quitter la ville discretement.

La jeune femme pleurait, les cheveux lui cachant le visage tandis qu'elle demeurait agenouillée devant son agresseur. Face à un spectacle si émouvant l'homme éprouva une once de pitiée, et se pencha vers sa victime, l'embrassant doucement sur le front avant de lui trancher la gorge d'un geste violent.

Le sang gicla dans les airs, et sur le sol, innondant plusieurs mètres de pavés déjà humides à cause des vagues qui parvenaient à l'atteindre.Le rodeur se baissa, et prit lentement sur ses doigts une large trace de sang qu'il reniffla avant de lapper délicatement, comme on goute à une sauce.

Les gardes étaient arrivés peu de temps avant, mais n'avaient rien trouvés, préférant repartir en hâte de peur de découvrir celui que l'on surnommait partout "le cavalier de la mort".
Tarabas laissa le cadavre sur le sol, et s'approcha des groupes de prostituées qui trainaient là, avec les gestes souples, et félins des loups lors de la chasse.

Les femmes palirent avant d'hurler, alors que la large lame fauchait l'air avec fureur.

[HJ : lol ce sadique pale

)

Les cris avaient résonnés comme une douce musique aux oreilles du guerrier qui essuyait son épée avec calme dans les cheveux sâles d'une de ses victimes. Le brouillard montait avec lenteur, signe que la nuit se terminerait bientot, et qu'il lui faudrait prendre un peu de repos avant le massacre prochain.

Les femmes éventrées trainaient comme des sacs de blé que le vent aurait poussé au sol, et dont l'interrieur était déjà dévoré par les oiseaux, et une odeur douceatre de sang se répendit dans le port.
Tarabas frotta ses pieds sur les pavés glissants pour que ses longues bottes retrouvent leur aspect sombre, avant de reparir vers les quartiers pauvres.

Les informations que lui avaient révélées les protituées étaient plus qu'interressantes, et bientot la chasse pourrait reprendre......

tres impressionan... puis je vous parler un instant?

juste derriere nameless keshin était posté, les bras pret a frapper sur sa dague empoisoné

Invité

Cronos arriva sur les lieux ensanglanté, plus loin il remarqua trois silhouette. Il lui fallut quelque seconde pour les reconnaitres, l'une était celle de l'un des hommes rechercher par les garde, une autre était celle de l'homme qui avait combatu le troll a ces coter et la troizieme lui était encore inconnu. Il préféra rester dans l'ombre attendant la suite des evenement avec impatience.

*Je me demende bien ce qui vas ce passer, peut étre que je devrait intervenir ou peut étre pas apres tout. Les deux homme on l'aire d'en vouloir apres le tueur, si un comba s'engage entre eux l'un des deux homme sera forcement abatu ou blesser, l'autre arrivera peut étre a tuer ou vaincre Tarabas il me suffira alors de tuer le survivant, prendre le corps de tarabas et recupéré la rançon...*

tu peut toujours rever ^^ un level 9 contre un level 5 fodrais vraiment avoir de la chance lol sinon t'es passer lvl 5 mais a jour ton profile.

Le sombre guerrier se retourna vers son interlocuteur sans violence aucune, et sourrit, dévoillant ses dents jaunes, derrière sa lourde capuche noire. Sa longue épée traina sur le sol, émettant un sond crissant, et désagréable, alors que la voix du rodeur s'élevait comme une murmure quasi-imperseptible, mais pourquoi glacial comme une bise hivernale:

Parlez, je vous écoute......

Invité

[hj: ne t'en fait pas pour moi lol, quand a mon profil je t'ai envoyer un mp vu que vous avez verouiller les topic]

He bien... nous avons eu vent de tes talent de combattants, certe nous ne t'avons jamais vue combattre, mais tu semble asser fort pour que nous te proposion un marché, rejoin la guilde des assassins, tu aura des quetes en plus, et autant de victime que tu le desirera, de plus tu sera tres bien payé, tu n'est pas obliger d'accepter, nous ne forcons personne...

Le rodeur éclatta soudainement d'un rire froid qui envahit l'air comme un millier de lames glacées, avant de pénétrer le coeur des hommes abassourdis par sa réaction. Un rictus méprisant se dessina alors sur son visage, et son épée trancha les airs, avant de finir sa course dans un cadavre proche.

Il n'y aura pas de trève.....Pas d'alliance......Pas de marché.....Après cete ville c'est vous qui tomberez.......Ils étaient cinq cette nuit là....Cinq des votres......Et pour le sang versé vous mourrez jusqu'au dernier......

D'un mouvement vif, le guerrier s'envellopa de sa cape, usant ses faibles resources magiques pour disperser autour de lui des étincelles enflammées et ainsi disparaitre dans le brouillard profond.

Invité

"Intérésent voilas donc le chef de la guild des assassins! Je vois je vois... Mais je me demende bien qui est vraiment celuis qui a combatu a mes coter?"

Cronos tourna les talons et partit en direction de la grande route ou il devait éffectuer une quete.

Le port était calme, la mer était silencieuse, et appaisée. L'homme observa une dernière fois les flots se heurter avec douceur sur les murs de la ville, et respira l'air marin qui pénétra jusque dans son cerveau, explosant en des milliers d'odeurs salées, et fortes. Durant un instant il ferma les yeux, se laissant envahir par la force tranquille qui avait envahit le lieu, et il recula d'un pas, avant de lancer à la mer le cadavre qu'il tenait entre les mains.

Tranquillement, l'Innomable se tourna vers les corps de ses victimes, étendues dur le sol: des femmes, des marins, des enfants...et au milieu du bain sanglant, le voleur pleurait de peur, la main refermée sur le moignon qui lui servait de jambe. Tarabas s'agenouilla pret de lui, et demanda d'une voix douce:

Je ne me répèterais pas....où puis je trouver la guilde des assassins?

Comme il l'avait promi Boumli prit la tete du tour de garde ils étaient 8 gardes lui compris tenant flambeaux ,bouclier et glaive, sauf Boumli bien sur

AVI A LA POPULTION L INNOMABLE POURRAI RODER DANS LE COIN RESTER CHEZ VOUS OU RENTRER CHEZ VOUS TOUTE PERSONNE TRAINANT DANS LES RUES SERA ARRETE ET INTERROGE PAR LE COPRS EXPEDITIONNAIRE DE LA GARDE NATIONNALE (non savant pour dire groupe des garde de la ville ) A PARTIR DE CE MOMENT LA GARDE PREND LE CONTROLE DE CE LIEU POUR LE RESTANT DE LA NUIT . Sergent metter en place la quarantaine

Le sergent sifla et une vingtaine de gardes arriverent et commencerent leur ronde

Aller trouver moi ces assasin mais si vous tomber sur Tarabas laisser le passer je tien pas a avoir de morts ce soir

Le pauvre voleur ne savait que répondre: il savait ce qui l'attendait dans les deux cas, mais se demandait ce qu'il aurait préféré. Lentement l'épée s'éleva en l'air, et l'homme hurla d'une voix suppliante:

Je ne sais pas, je vous jure, je ne sais rien!!!! Mais...mais je sais qui pourrait vous le dire.....

L'innomable l'observa avec attention, et entreprit de planter la pointe de son épée dans la blessure de son interlocuteur qui poussa un cri strident, avant d'éclatter en sanglots, murmurant tous les noms qu'il savait, et celui qui pourrait mener le rodeur où il voullait. Lorsqu'il eut fini, son bourreau le regarda avec un sourrire:

_C'est tout, tu n'as plus rien à me dire?

_Non, je vous le jure....

_Bien, alors je continue.....

Lors que les gardes arrivèrent sur les lieu, les restes du corps qu'ils découvrirent ne ressemblaient plus à un humain.

Boumli arriva sur les lieu du crime
Ca c'est du Tarabas Sergent boucler toute les issues faite evacuer tout le monde je ne veut voir que des gardes sur ce maudit port personne vous entendez personne ne se mettra a travers la loi
Moi Boumli chef de la garde proclame que la garde portera le non de Juge et moi meme je m'appelerai Juge supreme vous serer garde juge et boureaux aller faite moi regné la loi

Invité

Me voilas quel sont les ordres.

Tu reste et on atteint que le meurtier se montre toute les sorti sont verrouillé alors

L'air était lourd, humide, et froid, et la troupe de garde bloquait sans mal la petite ruelle qui menait au port. Dans leur maisons, les habitants effrayés bloquaient les entrées à l'aide de planches, et de meubles, priant tous les dieux que l'Innomable ne passe pas par chez eux pour s'enfuir.
Soudain, une ombre massive se dessina, et les soldats pailirent: à quelques mètres à peine, tenant sa longue épée ensanglantée, Tarabas les nargait, droit, et fier, comme un spectre sortit des enfers.

Bonjour messieurs.....il fait beau aujourd'hui, vous ne trouvez pas....?

Apres de longue heure d'attente toujour aucun signe de Tarabas alors Boumli compri qu'il leur avait echapper

EASY COMPAGNY RASSEMBLEMENT ON LEVE LA QUARANTAINE JE VEUT UN DEBRIEFRING DEMAIN SUR MON BUREAU SERGENT

Apres verification il vit aussi qu'il manquer la deuxieme section (4 hommes) apres etre parti a leur recherche il les decouvrir tous les 4 morts

Ca c'est encore Tarabas

Nakinoob tu a quartier libre si j'ai besoin de toi je viendrai te chercher merci pour ton aide
Boumli ensuite brula les corps et rentra au QG

Invité

ok si tu me cherche je serais a la sall d'entrainement

Les gardes s'éloignèrent, en groupes compacts, et le rodeur les observa avec mépris, léchant doucement le sang qui coullait sur ses doigts, avant de reprendre sa route. Il avait quelqu'un à aller voir.....

meurtre de gardes: réputation:-200

Invité

Guilco revient au port pour reinteroger les habitant et les marin mais sans veint jusqu'a q'un marin tres blesser dit tous qui savait.

mon garçon fait tres gaf a la guild des assasins et a tarabas!!!!!

[i]Qui vous a fait sa monssieur ??

C'est tarabas auresement que vous aver intervenut pour qu'il parte avant de machever.queu queu.

aver vous quelqun dd'autre que tarabas ?

non.hhhhhhhaaaaaaaaaaaaaaa!!!!!!!!!

Guilco parti sans aucune information sur la guild des assasins.

Ils arrivaient au port. Ryu, Boumli, Keshin, le fumeur de pipe, un homme qu'il n'avait jamais vu avant, Tristan, la magicienne et lui, Takeo. Cette troupe était des plus étranges... Mais Takeo était finalement content que le groupe se soi agrandi. Ils avaient plus de chance de trouver la lance ainsi... Takeo s'arreta près d'un bateau.

"Exusez moi, lanca-t-il à l'home qui se trouvait dessus, serait-il possible que vous nous conduisiez à Marazilla ?"

j'intervenais, tres calme

"ne l'ecouter pas... il est un peu fous... bon aurevoir..."

je prenais takeo par le bras et le tirais plus loin avant de lui chuchoter a l'oreil

"espece d'idiot... tu tien a nous faire reperer? j'ais dit que je nous ferais passé, mais ne t'occupe pas de sa... la plupart des personne ici vendrais leur mere pour 1 galions... ils nous denoncerais sans reflechir un instant."

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