Le restaurant du pécheur fougueux

Cette établissement pour marins, est rapidement devenu un centre d'affaire, tous les capitaine de navire et autre sont present ici, c'est dans cette endroit que l'on peut négocier un voyage ou autre service...

GUilco rentrat et commandat un bon plat de truite.

Guilco compris se qu'il fallait faire!!Il se levat et donnat un objet sombre dans la main de Nameless.

La porte du batiment s'ouvrit avec lenteur, et le silence acceuillit de ses bras froids la silhouète massive qui se profilait dans l'entrebaillement. Une longue cape noire le recouvrait entièrement, et son visage était couvert par une capuche de couleur semblable. Sans un bruit, l'homme avança dans la salle assombrie, et alla s'assoir sur une chaise libre, laissant les discutions reprendre peu à peu.

Lorsque le serveur s'approcha de lui d'un pas hésitant il ne prononça nule parôle, et se contenta de l'observer avec mépris. Soudain, ses yeux se braquèrent vers un petit groupe qui parlait de tout, et de rien, et il repéra la personne qu'il cherchait: le capitaine de navire que lui avait indiqué le mourrant, en échange de sa vie.

Calmement il se leva, et s'installa à ses cotés, avant de murmurer d'une voix douce, et sifflante:

Bien le bonjour....je recherche une amie à moi...une dénommée "poison rouge"....elle fait partie d'une guilde connue, et j'espère que vous pouvez m'indiquer comment la contacter.....

Les homes se retournèrent avec fureur, braquant sur lui leurs couteau, et c'est seulement alors qu'il aperçurent l'épée batarde ensanglantée que l'inconnue venait de faire jaillir du fourreau. Leur visage devint livide, alors que l'image de l'Innomable leur revenait peu à peu à l'esprit.

les hommes était livide, un lourd silence s'installa, ils deglutirent avant de repondre:

"nous...nous ne savont casimment rien... juste que les trios des poison, poison bleu, poison vert et poison viennent souvent dans la fumerie d'opiume du quartier pauvre de Galtorna... laisse nous en vie, pitier..."

Les homme tremblais de peur, il attendairent quelques second et rajoutairent

"nous ne savons rien d'autre, je le jure! pitier.."

les marins pousserent un soupire de soulagement, puis apres avoir attendut s'etre sur que tarabas etait partie, ils commandairent une nouvelle bouteille de liqueur rouge, et retournairent a leurs occupation.

(qu'elle bande d'alcolo ses marins )lol

Luuna se baladait dans les rues sombre et sales des docks qu'elle connaissait si bien pour y avoir passé son enfance. Quand elle vu la vieille façade brune du esturant du pécheur fougeux, elle décida de s'arrêter un instant pour prendre une cervoise fraiche.

Le restaurant a son habitude était enfumé , et rempli de vieux loups de mer.

Si bien que l'entrée de Luuna ne passa pas inapercue, tout les regards convergèrent vers elle...

Lunna s'assit et commande une cervoise, ainsi qu'une sole.

A peine quelques instants s'étaient écoulés que deux marins vinrent te voir et commencèrent a t'embeter...
Marin 1 :"Alors poulette ca va ?"
Marin 2 :"T'es toute seule ?? Tu t'ennui?"

Boumli qui était de garde dans se secteur était deja depuis plusieur heure dans le restaurant.Quand il vit la jeune femme rentrer, il sut tout de suite qu'il devait agir, il se leva

Hum, mademoiselle! Oui vous qui venez de rentrer pas ici je vous pris

Luuna était habituée aux regards intrusifs de ces baleines ventripotantes, elle se serait habituellement contenté de leur jeter un regard inquisiteur qui les aurait persuadé de rapidement se rassoir à leur tabouret, mais là ele avait vraiment besoin de savoir comment à l'âge de 10 ans elle s'était retrouvée sur les quais des docks, sans se souvenir de ce qui s'était passé.

Elle leur demanda "Non je ne m'ennuie pas, mais j'ai besoin d'un renseignement. Dites moi comment je peux trouver celui qui s'occuppait des docks , il y a 15 ans?"

Puis elle leur lança un regard enjoleur en leur indiquant de s'assoir dans un coin plus tranquille au fond du restaurant.

[je m'occupe de la quete]

Les marins voyant boumli , te dirent de les suivre, et ils t'amenerons voir un vieu de la vieille qui devait surement connaitre ca...

"Qu'en dis-tu ?"

Luuna se leva out de suite en vérifiant que son arc et ses flèches étaient bien à leur place prêtes à transpercer les chairs des deux marins qui se regardaient avec un air étrangement complice.

Elle regarda très rapidement le garde quitte le restaurant et dit "Allons y!"

C'est a travers un dédale de ruelles que les marins(plutot louches,mais sympa...) te menerent, Au bout de plusiseurs minutes dans les rues sordide du quartier des docks, vous arrivez devant une petite maison en bois.

Marin 1 : "C'est ici .. A la prochaine "

La cabane de Jacquot (Je te ferai la suite plus tard)

Luuna fit rapidement le tour de la cabane en bois et tenta de regarder ce qu'il s'y passait à l'interieur sans se faire repérer. Elle était extrèmement méfiante quand aux habitants des docks, tous trop pauvres pour ne rien attendre en retour d'un service.

La cabane de Jacquot


On se retrouve la-bas.
"Galtorna" "Docks" "La cabane de Jacquot"

Au hasard des pas de son cheval,Carshthang se retrouva,après une demi-heure à travers les rues boueuses et bruyantes de la ville,aux docks.Fouillant des yeux les quais encombrés et résonnants des cris de dizaines de solides gaillards en sueur chargeant et déchargeant de lourds ballots,son regard se vrilla à celui d'un poisson sculpté dans le bois,qui le regardait d'un oeil verni et morne et surmontait une enseigne tachée de fumée et de déjections ornithologiques où l'on pouvait lire,en caractères dont la peinture bleu mer s'écaillait,"Le restaurant du pêcheur fougueux".En temps normal,le chevalier aurait passé son chemin,mais il lui fallait des renseignements,et les lieux publiques étaient tout indiqués pour cela.Surmontant son agoraphobie récurrente,il conduisit sa monture décharnée aux écuries,où il la confia à un gamin crasseux sans échanger le moindre mot,l'armure de bataille qui lui pesait sur les épaules valant bien tous les discours d'avertissement possibles et imaginables.
Poussant la porte grinçante surmontée d'une lanterne de verre bleu,il fut ausitôt assaillit par le remugle de fumée et de poisson pourrit que semblaient entretenir toutes les tavernes de front de mer du monde.Se frayant un passage entre les tables massives et un ou deux ivrognes affalés à terre qui s'amusaient à attraper les pieds des passants,il arriva au comptoir,où il se fit servir une pinte dégoulinante de bière aigrelette.Après s'être couvert de ridicule en essayant de boire avec son masque,il avisa,assise sur le rebord vernis d'une fenêtre aux carreaux verts colmatés de plomb,une prostituée en robe d'une jaune délavé.Il se souvenait qu'il y bien longtemps,quand il commandait encore son ordre,Froschkt le frivolle,un de ses Gones,lui avait apprii que les filles de joie étaient au fait de tout ce qui pouvait se dire dans une ville,et qu'elles étaient de vraies mines d'information.Bien sûr,il ne lui avait dit ça rien que pour justifier ses habitudes libertines,mais Carshthang se dit qu'il pourrait utiliser à son profit ce conseil involontaire.
S'approchant l'air de rien de la jeune femme,il s'éclaircit bruyamment la gorge,avant de murmurer:

Ahem,dites,s'cusez,mais est-ce que vous pourriez me donner un ou deux tuyaux sur le coin? dit-il alors que la fille le regardait avec des yeux ronds,le masque faisait le même effet à tout le monde.........

Apres son premier étonemant la fille te dit :

"C'est 200 po les 2h comme pour tout le monde."

Puis repris son activité qui consistait a se curer les dents, ou chicos, avec une dague.

Interloqué,le chevalier battit mentalement en retraite,ne sachant comment rectifier le tir.Les rapports humains n'était pas ce qu'il réusissait le mieux -d'ailleur,que réussissait-il convenablement,dans le fond?- et l'approche qu'il entreprit alors n'aurait pas pesé bien lourd dans le classement des "54 techniques pour aborder le sexe opposé" (de Grindel Hutt,Conservatoire de Tryllie,ville de Tryllie,royaume de Grescht).

Oh,non,non! se reprit-il,agitant les mains frénétiquement.Ce n'est absolument pas de cela que j'aurais voulu vous entretenir -200,dites-vous?Il faudra que j'en parle à Froschkt-,loin de là!

A ce niveau de la discussion,Carshthang prit le silence indifférent le la fille pour un encouragement.

En fait,mademoiselle,attaqua-t-il très diplomatiquement,je suis nouveau en ville et,comme tout un chacun,j'aspire à connaître l'actualité de la région,voyez-vous.Et donc,comme,voyez-vous,votre.......profession,voyez-vous,est très proche des.........masses,voyez-vous,il me semblerait plausible que vous soyez au fait des grandes lignes des évènements comme des petits ragots de cuisine -bien que j'affectionne particulièrement les cuisines,voyez-vous-,et je suis sûr que,n'étant pas..........occupée,voyez-vous,nous pourrions,disons,bavasser,si cela ne vous entrave pas trop dans votre.......quotidien.Voyez-vous?

Encore une fois,il avait perdu pied,et encore une fois,il avait bombardé la pauvre fille de "voyez-vous" et d'hésitations offensantes.Se souvenant de son frivolle et libertin Gone,les indications que ce dernier lui avait donné maintes fois,sur le simple ton de la conversation,remontèrent à la surface de sa mémoire comme les bulles putrides d'un marais stagnant.Levant son poing gantelé de fer,il héla un jeune serveur,qui lui apporta quelques minutes plus tard deux généreuses pintes mousseuses."Toujours faire boire les femmes,monseigneur",lui avait un jour dit le jeune Gone,et Carshthang se demanda si cela s'appliquait à sa situation ou si le jeune homme n'avait pas voulut dire autre chose.....

La fille de joie, pris la choppe et la bus avant meme que tu put trinquer.
Puis elle te regarda :

"Merci j'avais bien soif.Effectivement je connais beaucoup de choses, mais demande moi quelquechose d eplus precis,sinon il y en a pour la journée, et comme tu la tres justement fait remarquer, je n'ai pas que ca a faire..."

Et te regarda et atendit ...

Jamais,au grand jamais,une personne sensée n'aurait ainsi traité le chevalier avec tant de désinvolture.Serrant à s'en faire blanchir les jointures ses poings cuirassés,il se répéta à lui-même une bonne dizaine de fois qu'il avait besoin de cette créature démoniaque,et qu'aussi il avait déjà payé les boissons,ce qui le refroidit légèrement.Malgré tous ses désavantages,son masque cachait aux yeux baveux de ses semblables les émotions qui se peignaient avec éxagération sur le visage difforme de Carshthang,qui posa avec grand bruit ses poings crispés sur la table où ils étaient assis,puis reprit,la voix un peu plus rigide:

Et bien,je viens d'un coin où il a pas mal de forêt,et je me demandais,voyez-vous -ah,chiasse,je recommence-,si vous connaissiez un peu les environs.En effet,à vrai dire,je suis un amoureux des arbres,mentit-il,cherchant à recueillir des informations sur cette soit-disant satané "forêt enchantée ",dont un forgeron à qui il demandait son chemin plus tôt dans l'après midi lui rabattit les oreilles pendants de longues minutes qui lui avaient parut des heures.Apparament,les animaux et les arbres -ce forgeron avait dût respirer trop d'émanations de métaux en fusion- se comportaient bizarrement.Et,comme Carshthang portait l'armure,le pauvre bougre s'était imaginé parler à un paladin.Décidément,si Carshthang réussissait un jour à mettre la main sur le misérable qui faisait circuler toutes ces fadaises sur les porteurs d'armures.........

alors que Carsthang était en pleine ridiculisation un vieu pecheur degoulinant d'eau salée puant le poisson s'aprocha

- Pardon m'sieu,mais j'ai cru entendre que vous cherchier une foret enchantée, Ralph connait, je peut vous y emener c'est a l'exterieur de la ville
vous trouverer facilement
Foret enchantée