LE GRAND COMBAT!!

Ca y est, le combat allait commencer. Nous étions tous en ligne, et étions prets a attaquer, ou a recevoir les attaques.

Je regardais OniRyu, qui me semblait être le plus fort adversaire que je pouvais rencontrer parmis l'équipe A. Celui ci soutin mon regard, et semblait vouloir lire dans mes pensées. Mais il ne pouvait y arriver, me rassurais-je.

Je devinais presque trop facilement leur technique pour la première attaque qu'ils allaient lancer contre nous. Ce n'était pas vraiement difficile a vrai dire. Nameless constituait un adversaire redoutable grace a son agilité... il se déplacait plus vite encore que n'importe quelle créature de ces Terres, ce qui lui donnait l'avantage d'etre presque "invisible".

Après lui, c'était sur, il y avait moi. Le maitre de la Guilde des Magiciens en personne était la, et beaucoup de personne étaient impressioné par ma présence. De plus j'avais un certain avantage contre au moins la moitié de mes adversaires, car ils étaient des créatures des ténèbres [Sauf si je me trompe] ce qui me donnait une puissance bien plus forte que s'il ne s'était agi que de simples guerriers.

La plupart de mes sorts, c'était simple, étaient destinés a la protection, aussi bien de moi que de mes aliés. Je pouvais aussi faire revivre des personnes, et faire une régénéréssance des PV. Cela me donnait donc une position assez dangereuse, car comme toute bonne stratégie, il fallait me neutraliser pour neutraliser ce qu'on pourrait appeler le ravitaillement et les soins. il était donc très facile de deviner que la première attaque lancée contre nous se fera certainement contre moi, ce qui serait la meilleure stratégie. C'est en croisant le regard de Oni que je le devinais, car il était de très loin l'homme le plus intelligent de l'équipe adverse [Je ne prend pas encore la présence de Tarabas en compte, vu qu'il n'a pas encore posté.]

Je me préparais donc à contrer cette première attaque. Je ne répondis pas a la reflexion de Minésa, préférant rester très attentif à ce qui se passait autour de moi. Je voyais Nameless qui, pour la première fois, semblait avoir abandoné son envie irrésistible de faire des ronds de fumée avec sa pipe, et se sentait a 100% dans le combat.

Je ne décelais pas d'autre aura de magie blanche très puissante autour de moi, ce qui pouvait me rassurer au plus haut point, car seul les vrais magiciens pouvaient me faire du mal.

Et voila, on commencait. Tout d'abord, je devais installer une ligne de protection derrière moi. Je lancais un premier sort, Mur de lumière : Un grand mur de lumière se dresse devant le lanceur, si la réputation de quelqu’un qui tente de passez le mur est positive, rien ne se passe, si elle est négative, il est brûlé par la lumière divine, dégâts 50+int du lanceur.

Soudain, le sol se mit a trembler tout en largeur de l'arene. Un immense mur, formé de lumière irradiante sorti de devant mes pieds, et commenca a s'élever de plusieurs dizaines de mètres de haut. Des acclamations chez les spectateurs se firent entendre. Je m'adressais a mes compagnons.

Si vous etes poursuivi par un ennemi pret a vous trancher, réfugiez vous derrière ce mur, et il ne pourra le franchir sans etre bléssé !!!

Ils acquiécèrent, et reprirent leur concentration habituelle.

Je lancais mon deuxième sort, qui devait me proteger de TOUTE attaque au corps a corps : Niveau 20 = Grande protection divine : crée un bouclier de lumière indestructible

Aussitot, une énorme masse lumineuse se forma autour de moi, m'enveloppant comme un drap de linge propore en train de sécher sous un soleil d'été à la campagne...[LOOL ]. Aisin, j'étais protégé de n'importe quelle attaque qu'on pourrait me porter au corps a corps...

Je voyais presque de l'autre coté de l'arene Oni qui me regardait faire la grimace. Avait 'il compris que sa stratégie de départ, si elle correspondait bien a celle que j'avais annoncé, était tombée à l'eau ? En tout cas, autant de manipulations magique semblait inquiéter les autres memebres de l'équipe adverse, qui ne savaient pas vraiment comment réagir. Apparament, ils attendaient que Oni leur dise ce qu'ils devaient faire... Le combat était commencé...

[Aide au MJ : Sorts Siphérion : 110/10=11-2=9]

Les cris de joie des spectateurs éblouis par la puissance des combattants emplissaient l'arène de tout coté, et déjà des enfants s'approchaient des grilles au milieu de leurs ainés, pour déclarer d'une voix orgeuilleuse, et admirative, auquel de ces "grands héros" ils ressembleraient lorsqu'ils deviendraient grands.

Sur le sable, la situation était tendue, et les deux groupes restaient soudés, et immobiles, impatients de voir leurs ennemis se lancer à l'assault pour qu'eux même puisse riposter.
A l'avant, illuminant l'arène de leur présence magestueuse, et impressionantes, Siphérion, et Oniryu se défiaient du regard, , alors que les autres guerriers, cachés dans l'ombre telles des bêtes affamées, semblaient se jauger les uns les autres avec impatience.

Une violente détonation retentit, et tous eurent un sursaut de surprise, alors que l'énorme grille s'ouvrait à nouveau pour laisser le passage à un homme sombre, envellopé dans une large cape.
Immobile, le nouvel arrivant leva lentement son visage vers la lumière de l'arène, et crachat sur le sol. Ses yeux d'un bleu profond se braquèrent sur les combattants amoncellés dans le lieux minuscule, et un rictus se dessina sur ses lèvres gercées.
Les cris de la foule avaient redoublés d'ardeur, et les enfants reculaient en frissonant devant celui que tous surnomaient "L'Innomable".

Tarabas fit un pas lent vers le groupe, et se figea, avant de tourner son regard vers la foule avec un sourrire froid, et morbide, avant de passer sa langue suintante de sang sur ses lèvres. Les plus jeunes enfants se mirent à hurler de terreur, et s'enfuirent dans les bras de leurs mères, alors que dans les gradins les cris mourraient dans les gorges, et les gestes, au par avant si ardents, devenaient de simples saluts craintifs.
Un silence de mort s'installa dans le public, et lentement, le rodeur s'avança.

Tel un spectre sortit de sa tombe, il semblait flotter au dessus du sol, envellopé dans sa cape noire, et déchirée, et lorsqu'il se figea à quelques mètres à peine d'Oniryu, celui-ci eut un frisson: dans les yeux de son "camarade" il ne percevait ni peur, ni exitation, ni compassion pour ceux qui allaient être ses adversaire. Dans ce regard aussi profond qu'un océan il ne lut que de la haine, et de la folie, alors que les dents accérées de L'Innomable claquaient, comme pour désigner par avance ce qu'il ferait subbir aux os de ses victimes.

Doucement, le rodeur se tourna vers son équipe, et lacha d'une voix douce, et joyeuse:

Vous êtes ceux que je dois épargner? C'est parfait....parfait.....on va bien s'amuser tous ensemble.....on va rigoler....oui.....on va bien rigoler.....

Dans ses yeux les veines ressortirent, et un éclatta d'un rire froid, et strident qui fit frémir les spectateurs avant que ceux-ci ne recommence à s'entousiasmer pour la lutte à venir, avec cependant moins d'ardeur que plus tôt.
Le sombre combattant abbaissa son visage, et tirra sa longue épée batarde dont un étrange liquide rougeatre, et ordorant semblait suinter. Misena fut la première à percevoir que ce liquide n'était autre que du sang.

Craquant délicatement les os de son cou, et de ses poings, Tarabas laissa sa lame descendre vers le sol, avant de se tourner à nouveau vers ses adversaires. Depuis le fond de sa gorge, une délicate mélopée jaillit. Sa voix était douce, très douce....trop douce.....

Et si nous allions tous seuls dans les bois,
La jolie Marion ne nous en voudra pas,
Car la jolie petite Marion elle vit là bas,
Car la jolie petite Marion....est morte dans le bois.....comme toi....
Vous voullez venir au bois avec moi?

A partir de l'expression deuxième tour, c'est le deuxième tour.

[N'ayant pas comprit au premier je me lache]

Je commença a me reculé de mon adversaire pour avoir un peut de place.
Je couru sur lui en fermant les yeux pour qu'il ne voit pas où j'allais attaquer... Je me guidat alrs avec mon odorat et mon ouïe.

Je passa sur sa droite pour feinter une attaque et me décala sur la gauche grace a un contre-apuit. Je lui sauta ensuite a la tête pour enchainer une série de coup de genoux au crâne jusqu'à qu'il tombe. Pour ensuite "m'assoir" sur lui pour lui assenner une série de coups de coude, poing, tête , griffes et crocs (qui començaient à apparaitre pendant le combat)


Lorsque j'estima que je devait en finir je me releva et le souleva au dessu de moi pour le lacher de là où je l'avait percher et pour que son dos percute mon genoue dans sa chute...
Je me recula ensuite prèt a une attaque.


[ question : esce bien fait pour un combat ou doije respecter certaine regle ou chose a ne pas faire...] [pui-je tirer des enchainement de jeu vidéo? et esque l'ont peut utiliser des compétence spéciale?]

Voyont voir ce que tu sais faire... dit-je en pensant ne t'avoir infliger que peut de dégats...

[réponse: tu peut faire tout les enchainement que tu veut, mais en compétence, tu à les tiennes, tu n'a pas le droit d'en avoir d'autre.
mais tu décris leur effets, il n'y a pas de points.]

Apres concertation sur MSN voila les note des messages sur 10.


A-Van Elshing: 4.5
B-Dworkin : 6
A-Keikoku : 5.5
B-Nameless : 8.25
A-Oniryu : 8.25
A-Tarabas : 8.5
B-Minesa : 9.25
B-Siphérion : 8.5

Equipe A: 26.75
Equipe B: 32


Ce post sera réactualisé a chaque nouveau post . Ceux qui ont déjà posté atendent que les autres l'ai fait.
merci

P.S: pensez à mettre vos actions en ITALIQUE. merci

Le loup garou m'assena des coups puissant , me frappant de toute part .Il me fendit l'arcade sourcilière me faisant saigner , puis me projeta en l'air, je me laissai faire, et retombai lourdement sur son genou.

Tous mes compagnons regardaient hébétés dans ma direction. Ils se demandaient tous "C'est tout ?? C'est tout ce qu'il sait faire ? Quelle est cette mascarade?"

Van Helsing sourit en me voyant m'écraser lamentablement sur son genou, puis je roulai au sol.

Apres quelques secondes je me relevai doucement un sourire au lèvres. Le sourire de Van Helsing se figea lorsqu'il vit le mien.

Je dis d'une voix calme et contrôlée :

"C'est bien ce qu'il me semblait, tu es nul."

Alors que Van Helsing commencait a me regarder furieux, tout le monde vit ma blessure a l'arcade sourcilière se refermer doucement.
[Grande régénération passive]

"Bon je voulais voir ce que tu savais faire si je ne me défendais pas...Vu ton niveau , tu vas avoir du mal lorsque je me défendrais. Si tu tiens a ta vie ou a certaines parties de ton corps , je te conseille de prendre la sortie de secours. Car je vais te tuer."

Pour appuyer mon speech , je fit un rapide mouvement de ma main gauche dans la manche de ma main droite.

Van Helsing sursauta et se prépara a une attaque tout muscles bandés.

Mais je sortis juste mon petit kit pour allumer ma pipe.

Le temps dans l'arène s'était arrêté , tout le monde nous regardait, et les spectateurs s'étaient tus.

J'inspirai paisiblement une longue bouffée que je recrachai en de petits ronds couleur rouge sang.

"Je serai gentil avec toi, tu ne souffriras pas trop boule de poils"

Alors que Van Helsing se préparait a me répondre quelque chose je m'élançai si vite que les spectateurs et combattants comprirent que je n'étais plus la lorsqu’ils me virent derrière Van Helsing.

Soudain Van Helsing comprit et se retourna rapidement , je me tenais la et lui soufflai dans le visage cette fumée acre et épaisse dont je me servais parfois ...

Il ferma les yeux un instant et comprenant son erreur les rouvrit immédiatement mais deja dans son dos il sentit une brûlure.

Il se retourna encore une fois et j'étais tranquillement a 3 enjambées de lui.

"J'ai tracé une belle croix dans ton dos, au cas ou je ne me souvienne plus ou je dois ranger mes dagues. On sait jamais, un trou de mémoire ça arrive ... Tien la dague que j'ai utiliser est saine que j'ai utilisé est saine, mais la prochaine fois, je risque de confondre avec une autre que j'ai. Eh bas ça te laisse une chance de fuir toute ces histoires."

Je voyais en face Oniryu qui fulminait de colère, Tarabs était tellement fou que la vue du sang devait le faire saliver .A coté de moi Siphérion et Minesa souriaient, et Dworkin me regardait avec des yeux étonnés.
Je m'assis tranquillement en tailleur et continuai a faire des ronds de fumées en attendant la réponse de Van Helsing.

N'oublie pas "il n'y a que les sots et les morts qui ne changent pas d'opinion."

OniRyu Ignora totallement la lamentable défaite de son coéquipier mais joua le jeu de la colère, faisant ainsi baisser la garde de Nameless...grave erreur...

Le samouraï passa à l'action dès que la fumeur de pipe relacha sufisament sa garde et d'un même mouvement fluide, s'entailla chaque pouce avant de les abattre au sol, laissant ainsi le contrat de sang entre lui et le clan des esprit du vent faire son travail.

Deux nuages de fumé apparurent dans une explosion plus impressionnante que dangereuse, révélant alors qu'elle se dissipait deux esprit du vent à la puissance collossal portant le samouraï en train de concentrer son énergie en grande quantité.

Les personnes ayant combattu au coté de OniRyu durant le combat contre le seigneur Foltrope écarquiller légèrement les yeux en devinant ce qui allait suivre.

Ceux n'ayant pas assisté à ce combat se contentèrent de regarder bizarrement le samouraï alors que ses propres invocations le catapultait dans les airs à prêt de 30 mètres de hauteur.

Le vent se leva alors que les grands esprit du vent inspirait de toute leur force, imitant à la perfection leur maître au dessus d'eux.

Du sol parti le cyclone et des air l'impitoyable pluie de feu qui se heurtèrent avec force à mi-distance de leurs cible.

Loin de se combattre, les 2 élément complémentaire se renforcèrent l'un l'autre, mélangeant leur force et faiblesse pour ne donner qu'une seule et même frappe à l'incroyable puissance de destruction.

"Sirocco : l'infernal tempête de flamme", venait d'être exécuté pour la deuxième fois dans la carrière de son concepteur et les effets se firent sentir.

Loin de s'arrêter, le vent aussi ardent que celui des enfer traversa le mur de lumière comme si il n'était même pas la et continua sa route vers sa cible.

En quelques secondes, ce fut tout une moitié de la fosse qui se fit balayer par les flammes, ne laissant aucune échappatoires à ses adversaire autre que de foncer droit sur le comité d'accueille qu'était ses coéquipier.

OniRyu laissa le feu brûlant en lui ne devenir que simple braise prête à revenir à la vie à la moindre sollicitation et se laissa aller en arrière, tombant tout en tournant sur lui même [Comme Cloud dans FF7 AC après qu'il ait détruit Bahamuth]

Faisant preuve de sa rapidité et de son agilité reptilienne caractéristique, il se réceptionna en saisissant la garde de son sabre avant de tordre son corps sur le coté, arrachant efficacement Ryuken du sol et lui permettant d'atterrir souplement sur ses jambes, à moitié accroupis et dans une parfaite position pour retourner immédiatement au combat.

Repérant immédiatement la signature magique, l'odeur et la silhouette thermique de Siphérion dans la fumé, il ne perdit pas un instant et fonça au contacte, pleinement conscient de la protection du mage alors que son esprit acéré comme la lame de son sabre procédait à mettre en place tout une série de possibilités.

Ne trouvant qu'une seule solution possible avec ses capacités actuelle, le samouraï rengaina son sabre et, faisant usage de la couverture assuré par la fumé de son attaque, bipassa le mage aveuglé dans un silence totale, se retrouvant ainsi dans le dos de l'équipe adverse.

Ordonnant à ses serviteurs de faire diversion, ordre qu'il obéir avec joie en envoyant des sphères de vent fortement concentré à travers la fumé, le maître de Ryuken s'accroupis et concentra toute sa puissance spirituel de la manière la plus compacte et rapide possible.

La fumée finissait de disparaître, révélant sa position à sa cible quand il atteint le résultat qu'il souhaitait.

Un sourire inquiétant étirant ses lèvres, OniRyu tendit son bras droit vers le chef de la guilde des mages et relâcha sa force spirituel.

L'air autour du bras tendu commença à onduler, comme si soumise à une forte chaleur avant que le même phénomène ne se produise autour de Séphirion.

-Il est vrai qu'avec cette protection je ne peux t'attaquer ni physiquement pas plus que magiquement, néanmoins, rien ne m'empêche de totalement t'immobiliser... Sursurat il doucement alors que son Dragon's Eyes envoyait différentes illusions toutes plus terrible les uns que les autre au mage blanc (pas des trucs lui arrivant à lui, ça servirait à rien avec son « mental d‘acier » , plus du genre massacres d'innocents, violes, rediffusion de la Star Académie) Je te souhaite de bien savourer cela...DOGOKUSHA !!!

Le samouraï dressa soudainement ses bras maintenant totalement indiscernable tellement il apparaissait flou, provoquant l'émergeant d'un anneau de roche tout autour de Siphérion à l'exception d'une faille lui permettant de voir droit dans les yeux du dragon en devenir.

Des yeux aussi rouge que le plus pur des rubis, brillant d'une flamme de détermination palpable, des yeux jeunes et vieux à la fois, des yeux ayant appartenu à cette créature apparaissant derrière le samouraï sans qu'il le sache, des yeux ayant vu les pires horreurs du monde et le forçant à les voir lui aussi, les yeux d'un dragon mais dans le même temps ceux d'un véritable démon.

C'est à cette instant précis, alors qu'il était plongé au plus profond de ce regard l'attirant comme un vortex l'empêchant de se concentre sur quoi que se soit d'autre qu'eux, que Siphérion compris finalement le sens du nom de son adversaire.

OniRyu, le démon dragon, une créature qui n'aurait jamais du exister et qui portant se dressait face à lui, une erreur de la nature, déterminer à survivre quoi qu'il lui en coûte avec une détermination sans failles.

Et c'est dans cet état d'esprit que Siphérion fit un brutal retour à la réalité.

Le contacte visuel qu'il avait avec OniRyu avait été brisé violemment et ce pour une excellente raison : l'anneau de roche qui s'était formé sans même qu'il s'en compte venait de se refermer sur lui.

En dehors du dôme nouvellement formé, OniRyu laissa échapper un soupir de soulagement, il avait craint tout du long que Siphérion ne brise l'emprise que le Dragon's Eyes avait sur lui, mettant ainsi son plan à l'eau.

Pas que se soit terminé en fait...

fermant à moitié les poings dans une position évoquant des serres de rapaces, il commença à rapprocher lentement ses mains l'une de l'autre, provoquant une diminution progressive de la cellule du maître da la guilde des mages tout en rajoutant quelques tonnes de roches sur la partie extérieur, renforçant la solidité de prison et formant au passage une colline au beau milieu de l’arène.

C’est avec un calme mesuré et ses deux serviteurs dévoué de chaque coté de son corps pour le protéger qu’OniRyu continua d’emmurer lentement le mage blanc, sa propre force spirituel submergeant les mur de roches pour les rendrent résistant à toutes tentative de magie pour les briser de l’intérieur.

Il n’aurait pas besoin de combattre Siphérion directement pour l’instant, peut être pas du tout même vu que l’air déjà rare pour commencer devait être en train de se raréfier encore plus dans l’espace complètement coupé du monde extérieur.

Siphérion devait maintenant être prisonnier dans une bulle de roche parfaite maintenant grâce à son bouclier, il ne restait désormais plus qu’à submerger cette bulle d’air au milieu des rochers directement sous terre et son travail serait terminé.

Faisant confiance à ses invocation pour le protéger, le samouraï commença son labeur, redonnant au sol de l’arène une surface plane mais désormais absente de Siphérion.




[Note : le Dogokusha n'est pas une technique, c'est une application de Esprit destructeur sur le sol de l'arène, tout simplement.

Sirocco travers le mur de lumière sans problème car cette protection sert normallement à bloquer le passage d'ennemis ayant une réputation négative (genre Tarabas, mais je ne pense pas que ça le ralentirait de beaucoup), pas à stopper les attaques énergétique ou magique.]

Voyant que le loup garou ne ferais surement pas le poid contre nameless, Dworkïn brandi sa hache et se rua en direction de keikoku.

Il allait se jeter sur lui quand un mur de feu passa juste entre les deux combattant. Dworkïn s'arrteta juste a temps et sentit quelques poils de sa barbe roussirent. Il réflechi quelques instants, prit son élant et se jeta dans les flammes.

Il réussi a les traverser en sentant cependant le bas de sa tunique s'échauffer légerement ... Quand il atteri de l'autre coté, Keikoku lui donna un grand coup de sabre qu'il n'évita qu'avec justesse, ce qui lui fit perde encore quelque cheveux.

Dworkïn essaya de lui envoyer sa hache dans la figure mais il l'évita sans aucun probleme. Son adversaire était beaucoup trop agile pour lui et c'est pourquoi il fallai déjas qu'il le blesse une partie plus difficille a défendre pour le ralentire et l'achever.

Le samouraï ripostat mais, malgrés son agilité, La taille de Dworkïn était un sérieux aventages et comme Keikoku n'était pas habitué a combattre des nains, ses coups lui passait toujours au ras de la tête.

Dworkïn allait mettre sa stratégie a execution quand un flash de lumiere provenant du combat entre Oniryu et Siphérion apparu soudain, aveuglant le nain car il se trouvait juste en face de ce combat.

Keikoku en profita pour essayer de lui mettre un coup de sabre dans les jambes, ce que Dworkïn évita avec beaucoup de mal et ce qui lui fit perdre l'équilibre. Il s'affala par terre et quand son adversaire s'approcha de lui pour l'achver, il le prit par surprise en lui envoyant un coup de pied dans sa figure en prenant appui sur ces coudes de toutes ces forces.

Le coup lui arriva en plein dans son menton et quand Dworkïn se releva, il y avait un mince filet de sang qui parcourai le bas de son visage et qui goutait par terre.

Les deux combatants firent une courte pose, sans ce quitter du regard et Dworkïn constatat qu'il lui manquait quelques morceau de sa précieuse barbe.

*hé bien je sens que je vais en perdre moi des poils dans ce combat...*

(j'aime vraiment pas les batailles en groupes, alors je vais faire de mon mieux, mais je sais pas ce que ça va donner....)

Le sombre rodeur était resté là, observant les duels qui s'offraient à ses yeux, et poussant un profond baillement d'ennuis, avant de faire craquer doucement les os de son cou. Délicatement, il sortit un gallion de sa poche, et le lança dans les airs, avant que celui-ci ne tombe sur la partie face au creux de sa main.
Son regard s'illumina, et au fond de ses pupilles la folie se dessina, comme un monstre terrifiant se dessine dans les ténèbres d'une chambre.

Lentement, l'égorgeur des ruelles se mit en marche, laissant sa longue cape flotter dans l'air. Dans l'ombre de l'arène il semblait être un démon jaillit de l'enfer.
Les sons des lames s'entrechoquant résonnaient à ses oreilles comme le doux bruit de la mort qui allait bientot s'abbatre dans ce lieu, et un rictus morbide éclaira son visage grimaçant.

Devant lui le nain, et l'homme s'affrontaient à grands coups d'épée, et de hache, mellant sang, et sueur, sans qu'aucun ne semble prendre l'avantage. L'innomable rangea lentement son arme dans son long fourreau, et pivota sur lui même d'un mouvement brusque, saisissant soudain Keikoku par la nuque, avant de lui expédier un violent coup de genou au niveau des vertèbres.
Le guerrier poussa un hurlement strident, avant de se recroqueviller sur lui même, ne comprennant pas la raison de cette attaque soudaine. Sans lui laisser le temps de réagir, l'Innomable pivota sur lui même, et l'écarta d'un coup de pied circulaire droit dans le visage.

Son regard se porta ensuite vers le nain, et il continua à sourrire d'un air cruel, et fou. Dwordin saisit sa hache, et chargea son nouvel adversaire avec fureur, mais celui-ci recula d'un pas, esquivant sans mal le coup, et frappa violement le sol, expédiant une large giclée de sanle au visage du nain qui ferma les yeux pour ne pas être aveuglé par l'attaque soudaine. Alors qu'il ouvrait les paupières, il vit l'énorme poing de son ennemi s'abbatre sur son nez, et une violente douleur lui traversa le crâne.

Depuis le sol, il vit avec étonnement le sombre rodeur continuer son chemin comme si de rien n'était. Lentement, celui-ci parcourrut la distance qui le séparait des autres combattants, et se pencha en avant, alors que son poing droit commençait à vibrer. Plongeant jusqu'à se retrouver à hauteur des jambes de Van Helsing, et envoya son poing de bas en haut dans un hupercut terrible nimpé d'une onde de choc qui projetta le loup garou dans les airs durant un court instant. Sans lui préter plus d'attention, le rodeur se redressa, et son pied volla sur le corps qui retombait au sol, avant de l'éjecter à plusieurs mètres.

Le regard de tarabas se porta alors sur Nameless, et son sourrire froid se transforma en rictus creusé par la folie, alors qu'il élcattait d'un rire strident:

Je vais te tuer.....t'arracher les trippes, et les bouffer......tous les tiens...je les tuerais...tous....

L'assassin sortit ses longues dagues sans parraitre le moins du monde effrayé, et resta parfaitement sobre, rangeant négligement sa pipe à sa ceinture, avant de cracher au sol pour évacuer le trop plein de tabac, et de la reprendre en bouche pour projeter à nouveau de petits cercles de fumée dans l'air de l'arène.

Tarabas fit crisser sa longue épée batarde avec une lenteur exaspérante, et la laissa pointée vers le sol, avant de porter sa main gauche à sa ceinture.

<<Je vais te tuer.....t'arracher les trippes, et les bouffer......tous les tiens...je les tuerais...tous....>>

Les paroles résonnèrent en moi. La voix guttural de l'être étrange qui s'était approché de mon coéquipier n'était quasiment plus humaine. Mais dans ma tête résonna un cri en écho: <<Il n'y a qu'une seule personne ici capable de bouffer véritablement la chaire, et c'est moi... Le sang de mes adversaires allaient devenir le mien... >>

Un grognement s'éleva du fond de la poitrine de cet être que l'on appelait "l'innommable"... il aurait été tellement plus simple de l'appeler par son nom: Tarabas.

Depuis le début je me tenais en retrait, Non loin de Siphérion. Je ne sentais plus la peur en moi, j’étais prête à défendre le mage de notre équipe, mais je savais qu’il était l’un des plus puissants d’entre nous mais je savais également qu’il était capable de s’en sortir.
Le samouraï souriait, mais il ne me regardait pas : je souriais aussi, Siphérion se réservait, tout comme moi.
J’avais anticipé l’attaque d’Oni, et je pense que Siphérion aussi mais je n’étais pas assez puissante pour me dresser entre les deux combattants. Siphérion était un très grand mage et il ne pouvait se laisser avoir aussi rapidement.

Je vis Keikoku jetait un rapide regard sur moi et ses yeux se baissèrent sur mes dagues, il tenta de cacher un sourire en coin mais je savais pertinemment ce qu’il pensait, je n’étais pas puissante aussi peu armée. Ignorait-il encore que parfois les armes se trouvent ailleurs que dans notre fourreau ?

Ma langue caressa doucement mes canines pointues. Je rapprochai ma main de mon visage et mordis rapidement dans peau blanche. Un goût amer et divin pénétra ma bouche. Aucun vin, aucun hydromel ni rien sur ces terres ne valait le goût sublime et somptueux du sang.
Le liquide roula doucement de ma main et tomba au sol. J’étais la seule encore inactive en ce lieu et la foule commençait à me jeter des regards noirs, n’attendant plus que moi pour découvrir le combat entier.

J’aperçu d’un coin de l’oeuil Dworkin disparaître derrière un mur de flammes, cependant, il parvenait encore à mes oreilles des bruits métalliques d’un combat entre lui et celui qui quelques minutes plus tôt sous-estima mes armes. Dworkin maîtrisai sa hache et je lui faisais confiance, il pouvait triompher de son adversaire. C’était un nain, un guerrier, il n’était pas n’importe lequel engageai dans ce combat.

Tarabas observait Nameless avec un rictus de plaisir, même moi je ne pouvais avoir autant que lui ce goût du sang. Il s’approcha a pas lent de mon coéquipier mais je captai son regard sur moi. Il suivait tout. Comme paré de milliers de regards il semblait parvenir à suivre chaque personne présente dans l’assistance. Il semblait maîtriser le temps et les êtres. Son visage était sombre et malgré ma vue particulièrement développer, il semblait impossible de discerner son visage. Il ressemblait à un être tout droit sorti de la mort, mais ce genre de compte pour enfant était depuis longtemps, effacés de mon esprit.

Je ne voyais plus que Nameless en danger et face à un tel adversaire il était préférable de lui venir en aide. A pas silencieux je m’approchai de Nameless essayant de parvenir à Tarabas sans qu’il ne me repère mais à peine avais-je frémis pour le rejoindre que l’innommable se tourna vers moi dressant son épée. Je sautai rapidement sur le côté prête à éviter le moindre coup de lame puis je me reculai.
La silhouette noir de Tarabas jeta sur moi un regard noir, je l’avais surpris prêt à couler du sang et il semblait frustrer d’avoir été coupé dans son élan.
J’eus à peine le temps d’apercevoir Nameless roulait sur le côté que j’évitai de nouveau la lame ensanglanté de Tarabas, mais celui-ci perçu mon regard derrière lui et se tourna de nouveau vers son ennemi : Nameless. Je sortis Mes dagues d’un geste prêt à défendre mon coéquipier mais un geste à peine perceptible m’arrêta.

Un grognement se fit entendre… Pas très loin de moi… Je me retournai vivement et vit l’ombre noir qu’avait envoyé valser Tarabas quelques secondes auparavant… Comment avais-je fais pour ne pas m’en rendre compte. Je respirai une nouvelle fois l’air qui m’entourait, il n’y avait aucun doute… J’étais face à un ennemi pire que tout. Un être d’une chaire qui ne méritait de vivre et qu depuis des millénaires ne cessait de me poursuivre, moi et mon peuple.

Tout me revint en mémoire, mon père me l’avait si souvent rappelé lorsqu’il m’enseigna l’histoire du vampirisme. Mon sang ne fit qu’un tour et mon cœur s’emballa. J’oubliai soudainement le combat, la foule, Tarabas, Nameless, et tous les autres. Nous n’étions plus que deux sur cette Terre, moi et ce loup garou.

Mes yeux brillèrent sous une folie incontrôlable, le sang qui coulait en moi était celui de mon père, du père de mon père et de tous les précédents qui de leurs crocs firent perpétuer la légende vampire.
Je serrai mes dagues de toutes mes forces, laissant s’écouler le sang de la blessure que je m’étais infligé et qui décuplait mon courage.

Le Loup-garou, agile, se releva rapidement et me toisa du regard. Le temps semblait s’être arrêté, peu m’importait de mourir, tant que j’infligeai à cet être le plus de douleur possible. Je ne l’avais jamais vu sur ces Terres, et bien que mon départ se préparait, je ne voulais pas le revoir en ces lieux.
Mon corps me brûlait de l’intérieur mais je tentais de ne rien laisser paraître, peut être ignorait-il mes origines, peut être n’avait-il pas saisi la raison ne mon engagement face à lui, cela serait la meilleur de ruses… Je m’approchai doucement, d’un pas hésitant, et dressa devant moi une main tremblante et armée d’une dague.

Van Elshing se dressa rapidement devant moi. Il avait reprit confiance en lui face à mes manis tremblantes... "C'est nue faible" se dit-il dans un rictus. Et il entreprit immediatement de m'asséner de coups de griffes. Sa rapidité m’étonna mais j’eus le temps de contrer son geste d’un mouvement de jambe léger. Il se jeta de nouveau sur moi, dressant ses griffes face à mon visage, mais je retint son geste de mon avant bras et approchai mon visage tout près du sien. Je pouvais sentir son haleine putride de bête tueuse mais je ne me laissai pas aller, je lui souris doucement dévoilant mes canines acérées.

Il se recula vivement découvrant mon sourire étonnant, et son visage s’assombri d’une haine terrifiante. Un hurlement déchira les cris de la foule, les regards se tournèrent vers nous, le combat qui s’engageai était celui d’une histoire bien plus ancienne que tous les êtres présents ici. Lorsque le cri de Van Helshing résonna, les cris de la foule furent démultipliés comme si la haine entraînait la haine.

L’animal était dompté à présent, il ne pouvait ignorait ce qui nous lié et en même temps ce qui nous éloignait. C’était clair entre nous. Pas de mensonge. Pas de survalorisation. Nous partions pour un combat au corps à corps, vengeance de toutes les vengeances des siècles qui nous ont précédés. Le sang allait couler sans aucun scrupule, c’était avec toute la haine et la hargne de nos deux corps que nous allions nous déchiqueter l’un l’autre, je le savais mais je n’avais pas peur.

Il bondit derrière moi et je me retournai rapidement suivant chacun de ses mouvement avec habilités, il était rapide mais s’il ne faisait pas mieux, je pourrai vite en avoir finit avec lui.
Je jetai un rapide coup d’oeuil derrière lui et put apercevoir Nameless faisant face à Tarabas, j’espérais qu’il ne m’en voudrai pas de n’avoir pas pu retenir Tarabas plus longtemps.
Mais le moment n’était pas venu de poser des questions, Van Helshing se jeta de nouveau sur moi et nous roulâmes sur le sable chaud à coup de griffes et de crocs.

D’un rapide geste de la main, il me blessa de ses longues griffes et étourdie je me laissai allez dans un brouillard de sang qui aveuglait mon regard. Van Helshing se dressa devant moi, frémissant d’impatience face à mon trépas rapide. Mais cela aurait été bien trop rapide. Il ne perçu pas le geste de ma main qui se baissa le long de ma cuisse. Il triomphait déjà avant la fin. Il bloqua mon visage au sol d’un coup de coude et approcha sa gueule de mon cou, se moquant de moi et de tous mes ancêtres. Il leva un bras rapide mais n’eut pas le temps d’achever son geste que d’un coup de dague je lui transperçai l’avant bras qu’il tenait encore en l’air une demi seconde plus tôt. Un flot de sang se déversa sur mon visage, m’encourageant à continuer, je ne goûtai pas le sang de cet être infâme qui ne le méritai pas mais l’odeur me secoua. Etonné par ma rapidité il tomba en arrière et hurlant de rage il entreprit de se reculer pour mieux m’examiner.
Il n’eut cependant pas le temps de faire un pas de plus, je m’élevai promptement et me jeta sur lui, qui retomba lourdement sur ses épaules.

Ses cris retentissaient mais je lui souris doucement, il ne faisait qu’encourager la foule qui s’agitait déjà face à cette giclée de sang rapide. Je bloquai par une vieille technique de jambe le corps du monstre, mais ma légèreté pouvait me trahir à tout moment.

Le sang se déversait à flot mais peu importait. Je me dressai, habile, sur le corps solide du loup-garou ; appuyé de tout mon poids sur cage thoracique, il semblait étouffer. Ma peau froide caressait sa peau brûlante et il fut parcouru d’un frisson. Le maintenant fermement d’un bras, je dressai l’une de mes dagues tout près de sa peau, prête à laisser s’étendre ma boisson favorite sur le sable blanc...

Je n'avais pas très bien compris ce qui s'était passé [Ca c'est vrai] et je ne comprenais pas comment un être doté d'aussi peu de magie puisse invoqué contre moi, chef de la Guilde des Magiciens, un sort aussi puissant qui me fis disparaitre sous la terre.

Même si cette personne me semblait assez puissante dans ce domaine, je ne pouvais pas croire un seul instant qu'il pouvait me metttre hors jeu de cette manière, simplement en invoquant un tout petit sort de l'esprit du vent. Sa démonstration restait certe assez impressionnante, mais je ne pouvais pas croire que je serais coincé ici jusqu'a la fin du combat.


Toujours est il que quand je regardais tout autour de moi, je ne voyais que de la terre, que de la couleur brune, éclairée à la fois par mon sort de bouclier bénit et aussi par le sort de Oni, qui m'immobilisait. D'ailleurs, je ne pouvais plus faire un seul mouvement.

C'est un peu comme si mon cerveau ne commendait plus aucune partie de mon corps. Que j'y étais étranger, ou comme dans un rêve, ou l'on tente desespérément de courrir pour fuire un monstre, mais il se rapproche toujours, toujours, toujours...


Bon, ne pas paniquer. Je me sentais de toute facon serain, car je savais que je finirais par trouver une solution. Comme toujours. Je ne pouvais pas invoquer de sort, car pour se faire, je devais pouvoir placer mon baton devant moi, ou a proximité, et faire au moins un mouvement pour que cela fonctionne. Je ne pouvais donc rien faire. Si, je pouvais toujours penser. la belle affaire. Quoique...


Je commencais a me concentrer de toutes mes forces, et je suis sur que malgré mon immobilité parfaite, on aurait pu voir se former sur mon front en plus de mes rides de vieillard des creux de réflaxions intense. Je tentais d'établir une relation téléphatique entre l'esprit de mon bureau et moi.

Un exercice que je m'étais entrainé que très peu de fois a faire, mais que j'avais déja réussi. Mais pas a cette distance, car entre Galtorna et Janaaro, il y avait un désert de plusiseurs kilomètres de longueur. Mais aussi incroyable que cela puisse paraitre, je parvins a établir le contact.


"- M...Maitre... Ou etes vous ? Je ne vous sens pas !
- C'est normal, je me situe dans la ville de Galtorna, et je me suis mis dans une situation assez embarassante. Je me trouve actuellement à plusieurs mettres sous terre, sans la moindre possibilité de bouger, et j'y suis contraint par la magie.
- En quoi puis je vous etre utile ?
- Je voudrais que tu transforme n'importe quel membre de la Guilde des Magicien qui connait ce sort en lion en utilisant le sort de "Transformation en lion" que je vais t'apprendre par téléphatie, et je te donnerais toutes les actions qu'il devra faire. Ecoute moi très attentivement..."


Sur les terres fermes de l'arène, le combat fesait rage. Chacun des membres de mon équipe se demandait ou j'étais passé, et s'inquiétais de mon sort. Sous terre, je ne pouvais rien voir, mais je devinais facilement ce qui se passait, car je pouvais tout entendre... Les menaces que pronnoncait la voix de l'innomable, les mouvements du vampire, etc.

Cela faisait bien 15 minutes que j'avais coupé le contact avec l'esprit du bureau, et ce que j'avais prévu ne s'était toujours pas déroulé. Mais soudain, je pouvais entendre des cris appeurés des spéctateurs, et en meme temps des cris de joie, comme si ceux qui criaient de joie savaient ce qui se passait. Les voix appeurées hurlaient "Un lion !!! Un lion dans l'arène !!!", d'autres "Ils vont tous se faire massacrer !!!!! ".


J'entendis alors un rugissement au dessus de ma tête, et quelque chose qui gratait dans la terre... Puis, je pu enfin appercevoir de nouveau la lumière du jour... Haaaa, quel bonheur. Le lion me tira par le baton, que je ne pouvais lacher car paralysé par magie.

Il parvint a me mettre debout, et a m'arracher le baton des mains. Puis, le tenant dans sa gueule, il le posa violament sur le sol, et repris alors sa forme humaine. J'entendis la foule crier des "Hoooooo" et des "Hahahaha" de soulagement. Je reconnu alors Signak, un de mes fidèles...


- Vous avez besoin de moi, Maitre ?
- Je te remerci d'avoir répondu a mon appel, Signak. Pourrais tu me libérer rapidement, avant que nous nous fassions attaqué de tous les cotés ?


Puis sans réfléchir, Signak dressa autour de moi un aveuglant halo de lumière jaune. Puis, je sentis un fourmillement dans tout mon corps, et enfin, je pu bouger. Je m'étais enfin libéré du sortilège.


- Comment as tu réussi cette prouesse de me libérer aussi rapidement ?, lui demandais je.
- Si je vous répondez, vous ne me croiriez pas... Je dois m'en aller à présent, bonne chance !


Puis, Signak se retransforma en lion, poussa un nouveau rugissement féroce en direction de Oni, puis fit un bond de plus de 15 mètres de haut pour repasser au dessus des gradins, de cette même manière je pense qu'il était venu, d'ou les cris des spectateurs.


Chacun des membres de mon équipe était assez content de me voir, a ce qu'il parraissait. Certainement se demandaient ils comment j'avais fait. Je me préparais à invoquer le sortilège pour que moi meme je me transforme en lion, car grace a ce sort, je serais presque intouchable (agilité +45) mais avant tout, j'invoquais l'ange, qui a 220 à toutes ses caractéristiques, et je le chargeais d'attaquer OniRyu sans relache, car c'est lui qui m'avais fait perdre autant de temps. L'ange fonca alors en direction de Oni...

Puis mon baton toujours devant moi, je me transformais en Lion de Lumière. l'impression était assez désagréable, car on aurait dit qu'on comprimait mon corps pour le faire rentrer dans celui d'un lion. Mais le sort réussit tout de même, et je poussais moi meme un rugissement féroce, et commencais à faire des tours de l'arène, en m'arrettant a hauteur de l'équipe adverse.

Avec la protection quasi totale que j'avais contre les sorts aux corps a corps et ma nouvelle transformation en lion, je défiais qui que ce soit d'attaquer un seul de mes coéquipiers au corps a corps.



[Je ne trouve pas ca normal que Oni ai pu me clouer sous terre aussi facilement sans que je puisse riposter, c'est pour ca que j'au choisi d'ultiliser la thélépathie, mais ne pouvant plus bouger, je ne voyais pas comment me sortir de la. J'ai du improviser un peu. Mais il fallait pas tenter de me mettre hors jeu aussi vite... ^^ ]

[Il ne manquait plus que deux postes, Minesa et moi meme. Comme c'est fait, vous pouvez débattre, et on aura achevé le deuxième tour. Désolé pour me retard... ^^]

Le 3ème tour commence:
Joueur, POSTEZ (lol)

B-
B-
B-
B-
A-
A-
A-
A-

Equipe A: 26.75
Equipe B: 32

Ce post sera réactualisé a chaque nouveau post . Ceux qui ont déjà posté atendent que les autres l'ai fait.
merci

P.S: pensez à mettre vos actions en ITALIQUE. merci

[C'est de bonne guerre Siphi, on est dans un combat de créativité après tout... ]

OniRyu lança un ragard blasé à l'être de pur bonté et lumière fonçant sur lui à pleine vitesse et lacha un soupir exaspéré...et particulièrement flamboyant.

L'ange, voyant une manaçante boule de feu le regarder droit dans les yeux fit un brusque virage sur le coté, se récoltant quelques plumes brulé au passage.

-Et bien mon poullet, on dirait que tu n'as pas l'habitude de combattre contre un démon fait homme... Lança Sarcastiquement le samouraï, qui par une impressionnate démonstration de vitesse atteigni la position de son adversaire et abattit son sabre juste avant qu'il ne se soit totallement relevé.

L'ange bloqua rapidement, bien qu'assez maladroitement, Ryuken avec son propre glaive, reniflant de mépris à l'encotre de son adversaire humain.

-Ton arrogance sera ta perte, hu... L'être lumineux s'interrompis brusquement alors que ses yeux croisaient ceux du maître de Ryuken, plongeant dans les deux abysses rouge sang. Qui es tu ? Non...qu'est-ce que tu es ?!

-Ta mort...

L'ange sentit son souffle lui être brusquement arraché alors qu'un genoux entrait brutallement en contacte avec sa cage torracique, lui faisant ainsi perdre le contacte visuelle avec le samouraï et retrouver ses esprit.

-Ce sabre...impossible...comment un vulgaire humain pourrait il... Marmonat-il tout en esquivant et parrant une série particulièrement vicieuse de frappes qui lui aurait sans aucun doute tranché les ailes si il avait réagit une seconde plus tard.

La seul réponse du samouraï fut d'étendre encore plus le sourire bestial étirant son visage alors qu'il executait un combo particulièrement acrobatique consistant à utiliser sa force pour destabiliser son adversaire d'une puissante frappe avant de la frapper au visage d'un coup de genoux sauté, permettant ainsi de passer derrière son adversaire et de le finir d'un coup du dos de son poing gauche en tournoyant sur sois même.

L'ange, contre toute attente, s'effondra au sol, 2 côtes cassé à cause du coup de poing et le nez brisé à cause du coup de genoux.

L'être lumineux crachat un filet de sang argenté avant de dresser son regard vers la samouraï qui le regardait désormais de haut, a peine à quelques pas de lui, ses yeux devenu maintenant complettement rouge semblant devenir noir.

-Part d'ici imédiatement...ou meurt... Souffla le samouraï juste assez fort pour que son adversaire l'entende.

La réponse de l'être lumineux pronfondément blessé dans son orgueille fut de tenter de le toucher d'une flêche de lumière droit au coeur.

La seule chose dont il était conscinet après cela fut la douleur indescriptible qui le traversa alors que son aile gauche était arraché, pas tranché, arraché, à main nue par le samouraï dragonisé.

-Part... Répetta le samouraï une nouvelle fois, d'étrange veinure noir semblant traverser l'éntendu rouge de ses yeux et se réunir en leur centre.

N'ayant qu'un seul désire à travers le voile de douleur le submergeant alors que son sang argenté recouvrait lentement le sable l'entourant, l'ange n'entendit pas raison et frappe de son glaive de lumière.

La lame sacré tomba au sol, brisé alors qu'un autre cris déchirant échapait à son ancien maître maintenant dépourvu de ses deux apindices le carractérisant comme étant un ange.

-Va t'en... Lança une dernière fois le samouraï, ses yeux maintenant ayant perdu presque tout leur rouge au profit d'un noir abysalle.

Le dernire mouvement de l'ange fut d'invoquer sa lance de lumière et de frapper à l'aveuglette.

L'être maintenant désespéré écarquilla les yeux alors que la douleur semblait étrangement disparaitre peu à peu, sa vision se clarifiant, ses idée devenant plus clair, plus légère.

C'est dans un état second qu'il se rendit compte que la lame de sa lance avait touché son ennemis mais ne semblait pas avoir été capable de pénétrer la peau protégeant son poumon gauche.

C'est éguallement dans un état second qu'il baissa les yeux et vis la pointe d'une lame enfoncé nettement juste au centre de sa poitrine, en une frappe tellement propre que le sang ne s'écoullait même pas de la blessure.

Il leva les yeux et croisa le regard du samouraï pour ne voir que deux puit infini de noir...

-Adieu... Dit simplement la samouraï en enfonçant brusquement son sabre dans la poitrine de son adversaire, transperçant la cage torracique, passant au travers du coeur comme d'une éponge et séverisant la collone vertébrale, ses yeux montrant finallement une lueur qui fit frissoner l'ange mourrant.

La dernière chose que l'ange vit avant que les ténèbres l'engloutissent fut un être humain, un être parfaitement inférieur suivant les conceptes angélique, le regardant de haut avec les yeux d'une créature que lui et son peuple avait expéré ne pas revoir avant quelques millénaire de plus, au minimum.

OniRyu retira lentement son sabre du cadavre prostré à ses pied, une expression de tristesse et de paix sur le visage désormais à jamais immobile.

Ne montrant aucun emotion, le samouraï se tourna vers son prochain adversaire qu'il comptait bien cette fois immobiliser pour de bon : Siphérion.

Ses yeux d'un noir d'albattre se fixèrent sur le lion de lumière alors que ses nouvelle pupilles désormais d'un rouge orangé brulant se mettait à bruler d'anticipation.

Serrant son sabre désormais déserté de l'esprit l'habitant avec vigueur, il avança vers le mage maintenant au prise avec ses serviteurs.







Siphérion n'eu pas le temps d'avancer de 3 pas que sa deuxième menace du combat se dressait face à lui.

Les deux grands esprits du vents invoqué plus tôt par son adversaire l'avait encerclé et semblait clairement déterminé à le maintenir en place le temps que leur maître règle son compte à la propre invocation du maître de la guilde des mages.

Voyant la menace approcher, Siphérion tenta un coup de griffe...et il se rendit compte de son énnorme erreur.

La combinaison de son bouclier certe indestructible mais ne lui permettant aucune attaques physiques et de sa transformation lui augmentant considérablement sa force mais rendant l'usage de sort un tantinet plus ardu.

Comment diable allait-il bien pouvoir utiliser sa magie sans l'usage de ses mains de ses incatations voir carrément de son baton de mage ?

Les lions n'avaient après tous pas les cordes vocalles adapté au language humain et pas de pouces opposables permettant les mouvements cabalistiques complexes requis par son art ou pour tenir son sceptre.

Grognant, il défia les esprit élémentaire de s'approcher...ce qu'il firent sans se poser de question, parfaitement fidèle aux ordres de leur maître, avant de saisir non pas lui mais le bouclier l'entourant, bloquant ainsi ses possibilités de déplacement.

Les choses s'annoçaient bien moins rose que ce qu'il avait prévu et si le hurlement de douleur qu'il venait juste de percevoir était bien ce qu'ilpensait, alors elle allaient encore empirer jusqu'à des proportions rarement vu.

Un second hurlement retentit, cette fois tellement déchirant que seul les coups acharnés de Tarabas, qui était totallement désintéressé de tous sauf de sa tache actuel (étaler le plus possible de cervelle venant de Namelesse sur le sol), se firent entendre pendant près de 5 secondes.

Cette fois-ci, Siphérion se retourna vers le cri...et souhaita ne pas l'avoir fait quand il vit le spectacle de cette magnifique créature lumineuse qu'était l'ange gisant sur le sol, l'un de ses ailes étalé sur le sol à 5 mètre de distance de sa position naturelle et son autre aile actuellement dans la main de son tortionnaire alors que son sang argent se déversait librement sur le sol de l'arêne.

Il vit avec anticipation la tentive désespéré de son invocation pour tuer le samouraï et soupira de désespoire quand il vit la lame être bloqué par ces damnés écailles couvrant le corps de ce dernier.

Son souffle se bloquat soudainement quand il vit Ryuken sortir subitement du dos de son invocation et il se demanda distraitement comment on pouvait en arriver à détruire litérallement une créature si merveilleuse sans être totallement engloutis par les ténèbres.

C'est alors qu'il vit pour la première fois depuis son passage sous terre mes yeux du samouraï et son souffle se bloquat de nouveau.

Si il avait été subjugué et apeuré par le pécédent regard du samouraï, alors celui ci était 1000 fois pire.

OniRyu avait presqua totallement disparu de cette paire d'yeux, il ne restait casiment plus que cette entité sans nom dont il n'avait saisi qu'une bribe précédament...et maintenant il se retrouvait confronté à cette puissance directement, sans l'écrant protecteur qu'OniRyu était.

Siphérion déglutit alors que 'être qu'était devenu le samouraï s'approchait lentement de lui...

[Je ne suis plus d'accord, je suis désolé. Oni, serte tu es très fort, mais tu me tourne au ridicule !!! avec toi, je passe pour un gros débile de service qui ne sait pas quoi faire... Est ce que moi je t'ai a un seul moment rabaissé ? Non, alors arrete deux secondes ton bordel, stp. Ok, c'est l'imagination, mais je suis quand meme le maitre de la Guilde des Magiciens, j'ai beaucoup plus d'intelligence que toi, alors je sais ce que je fais. Alors c'est peut etre ton perso qui pense ca, ca se change rien. D'accord ? Tu peux pas savoir comment c'est chiant de lire tout le temps ce que tu as écrit... Soit un peu plus respectueux stp.]

[Désolé pour mon poste, le vrai qu'il faudra noter viendra un peu plus tard car la je suis a la bourre.. ^^]

c'est un peu mort ici...

vous pouvez effacé mon post c'est juste puor faire reagir....