La fosse [Keshin vs Tarabas] FNI

Un homme s'avanca dans le centre de l'arene puis se mis a hurler
"Mesdame et messieur, nous allons se soire assister a un combat, qui reunni deux adversaire extremement puissant, j'aie nommée a ma droite TARABAS LE SANGLANT !! "
celui ci sortie, de la porte de droite et l'homme repris
"et a ma gauche, un homme encore peut connu ici, mais qui, nous l'éspèrons nous offrira un beau spéctacle, KESHIN O'CONORA!!"
a son tour, tous comme son adversaire, keshin sortie de la porte gauche, l'homme qui avait annoncé le combat partie par la porte dont tarabas etait venu puis dans un grand fracca, les porte se refermerent, impossible de reculer maintenant.
Les deux combattant se tenais face a face sous les regards de la foule prete a savourer le spectacle.
[Rappelle, les combats ici se font sans capacité et sans arbitre, juste par des description, bonne chance]

Le sombre rodeur entra, cachant son corps massif derrière sa longue cape ténébreuse. De démarche lente, et monocorde, il parraissait être un mort sortit de la tombe pour terrasser les vivants. Ses yeux rouges sang se braquèrent sur son adversaire, et il écarta violement son long vètement, dévoillant une lourde épée batarde encore tachée de sang frai.

Dans l'assistence les hurlements reprirent de plus belle, et le regard de celui que l'on baptisait l'Innomable se braqua sur les spectateurs. En quelques instants le silence régna, et enfin, le guerrier fit craquer les os de ses poings, avant de faire un léger signe de la main à son adversaire.

je regardait mon "terrible" adversaire, celui là même qui avait réussi à s'aventurer a l'intérieur même de la guilde des assassins, et à ne pas mourire, il ne fallait pas que je le sous estime.
La foule hurlait le nom de tarabas, mais celui de keshin était beaucoup moins présent.
Evidemment, il devait être un adepte de se genre de lieux, voila qui espliquait peut être comment il fesait pour avoir des revenus
L'ambiance entre les deux combattants était palpable, bien que la foule criais, aucun des deux ne parlait attendants que l'autre entame le combat.

L'inactivité des deux combattants dura encore quelque seconde, jusqu'a que je me décide d'attaquer en premier.

d'un rapide mouvement je dégainais ma dague, et envoyait un shuriken sur tarabas d'un rapide mouvement du poignet gauche.
Puis, sans attendre de voire lancais en quelques seconde une technique très spéciale, Crane de fer

Parfait Tarabas était un professionel du combat rapproché et si il m'attaquait, ma peau était à présent devenu assez dure pour encaisser casiment n'importe qu'elle attaque.

Le long projectile fusa dans les airs avec un son strident, et tarabas chuta au sol, soulevant un épaix nuage de poussière. Les cris s'arrêtèrent, et certains partisants du sombre rodeur se dressèrent sur leur sièges de bois, ou se bouscullèrent sur les grilles pour s'avoir se qui était advenu de celui que l'on pensait déjà invincible. Le corps hémit un soubressaut, et d'un geste violent l'Innomable bondit dans les airs, avant de retomber sur ses pieds sous les hurlements de la foule admirative.

La surprise se lu dans les yeux froids de Kenshin, alors que son regard se posait sur son ennemi: son shuriken avait bel et bien atteint sa cible, mais sans s'enfoncer dans sa chair. Tarabas, "le loup des ténèbres" avait figé le projectile avec ses dents, mordant en son centre à la manière d'un animal.

Les yeux du rodeur étaiebnt à présent jaunes, tels ceux des félins, et des fauves, et d'un geste calme il retirra l'arme de sa bouche avant de la jetter au sol avec une mine de dégout. Son corps se courba en avant, et ses ongles semblèrent s'allonger, alors que ses "crocs" luisaient dans l'obscurité.

C'est alors qu'il bondit, se propulsant en avant grace à ses jambes pour reprendre appuis avec ses mains, puis s'élancer à quatre pattes à l'assault de sa proie. Alors qu'il se trouvait à à peine un mètre de Keshin, il pivotya sur le coté, sauta dans les airs, et passa ses long doigts griffus entre les barreaux de l'arène pour y prendre appuis, et propulser ses deux pieds au visage de l'assassin.

D'un vif mouvement dut aux heurs d'entrainement dans le dojo de la guilde des assassins, je me baissait pour laisser passer tarabas au dessus de moi.

Celui ci se retomba sur ses pieds à quelques mètres, on pouvait comprendre qu'il était remplie de haine, ses yeux lancant des éclaire tout en restant quand même calculateur.

mais le temps qu'il réalise exactement ou était ma position pour me porter une nouvelle attaque, je m'était déjà rapproché de lui, à un cinquentaine de centimètre tous au plus, lui assénant une rapide succésion de coups de pieds et de dague sans lui laisser le temps de respirer entre deux attaques, toujours plus rapidement, mon corps rendut extrèmement resistant grace à ma technique.

La dague se planta avec violence dans le ventre de l'homme qui ne poussa pas un cri, nu un râle, et le sang coulla de la blessure ouverte. Pourtant les yeux de Tarabas ne reflétèrent à aucun moment la peur, et il pivota légèrement sur le coté, esquivant sans mal le second coup qui le était porté, avant de frapper de toutes ses froces le visage de son aggresseur qui ne sembla même pas se rendre compte du coup porté.

A nouveau la dague fusa, mais cette fois elle ne rencontra que le vide, alors que le sombre rodeur plongeait sur son adversaire, qui esquiva à son tour. Les frappes, et les parades se succédèrent, et lentement la blessure s'effassa du corps de l'Innomable sous l'effet de sa régénération naturelle.
Keshin s'avança alors à nouveau, et frappa, mais alors que sa lame allait transperser la chair, Tarabas se laissa glisser sur le sol, pour saisir de ses cuisses les mollets de son adversaire et le faire chuter au sol, avant de violement se relever.

A nouveau les combattants se firent face, et l'Innomable hémit un sufflement strident, avant de plonger à nouveau.

décidemment, ce combattant était très resistant, je lui avait enfoncé à plusieur reprise une dague avec un violent poison, il devrait normalement être mort, mais il continuait a combattre, ce n'était vraimenbt pas un adversaire ordinaire.

encore une fois, inlassablement, j'ésquivait son attaque, et il recommencais, ma vitesse était vraiment mon seul atout, car si lui m'enfoncais une lame dans le ventre, je doutait que mon corps allait se régénerer.

Avec une vitesse fulgurante, je sortait une deuxième dague caché dans main manche, celle ci avait la lame de couleur violette très clère, comme mes yeux, je lancais ma première dague, que tarabas esquiva sans vraiment de difficultés, puis le temps qu'il comprene je l'avais déjà contourné et l'attaquait dans le dos avec la dague violette ainsi que de nombreux shuriken lancé simultanément.

Toute las foule regardait cette action hébahit, ils avait cessé de hurler pour un rien, et retenais leur réspiration, qu'allait il se passer?

L'esquive de l'arme avait été simple, mais celle de la seconde attaque le fut moins. Tarabas encaissa les lourds projectiles qui percèrent sans mal sa peau, provoquant des giclés de sang, et des ondes de douleur terrifiantes, mais avant que Keshin ne soit sur lui, il se pencha sur le sol, et le frappa avec violence.
Le temps sembla s'arrêter, et une terrifiante onde de choc balaya le terrain, propulsant les premiers rangs de spectateurs au sol, et expulsant l'assassin à plusieurs mètres.

Lentement, le démon des ruelles se redressa, alors que son propre sang s'échappait de son corps par gros bouillons, et il se retourna vers son adversaire, avant de porter les mains aux shurikens qui parcemaient son corps, et de les arracher par poignées sans pousser un seul cri.

Ses yeux s'étaient tintés de sang, et il respirait fort, et vite. Ses dents se serrèrent, et il posa les mains tachées de sang sur la poignée de sa longue épée avant de la retirrer du fourreau d'un geste brusque.

Je vais....te tuer.....oui...te tuer.....t'ouvrir en deux, et te vider de tes entrailles.....

La voix du guerrier était un long rire fou, et son visage devint une grimace informe, triste parodie d'un sourrire. Dans un mouvement violent, il chargea son adversaire, l'épée tendue vers l'arrière afin de mieux esquiver les attaques à distance, et ses dents luisantes claquant avec fureur.

comment avait t'il put esquiver la plus grosse partie de cette attaque? elle avait pourtant été exécuté à une vitesse terrifiante, je ne parlait pas, pour ne pas gaspiller mon souffle comme le fesait Tarabas, mais je reflechissait simplement à comment j'allait faire cette fois pour esquiver l'attaque.

Je n'avait pas beaucoup de temps devant moi, Tarabas arrivais à vive allure, et la foule, rassuré de voire leur idole encore en vie commencait déjà à vociférer des encouragement en faveur de mon adversaire.

Rapidement, je pris une decision, au moment ou tarabas était sur moi, et commencais à envoyer son arme au niveau de mon buste pour me le trancher, j'effectuait un bond par dessus, presque au niveau de sa tête et m'apprêtait à retomber, dague à la main sur son visage.

Si il survivait à cette attaque...

L'arme faucha l'air, et l'assassin s'éleva au dessus du sokl avant de retomber violement sur les épaules de Tarabas qui chuta au sol, lachant sous épée sous le coup. La dague fusa, et le sang coulla.
Keshin hurla de douleur, alors que les dents de son adversaire venaient de se refermer sur son pouce, tandis que d'un geste puissant les jambes de l'innomable lui avaient enssérrées le corps pour le rejetter en arrière.

L'assassin se relva sans mal, se tenant toujours face à son adversaire dont les blessures continuaient de régénérer avec lenteur. Son poing lui faisait mal, car les dents de l'homme avaient percées jusqu'à l'os, ouvrant une longue entaille dans l'articulation.
De son coté Tarabas resta immobile, avant de se pencher lentemùent en avant, et de bondir à nouveau.

Keshin esquiva sans mal l'attaque, et frappa, mais au moment où son regard se tournait vers son adversaire, celui-ci aggita la main, et projetta une longue poignée de sable dans les yeux de son adversaire.
Depuis toujours les assassins savaient se battre en aveugle, mais la surprise liée à la cécité temporaire fit commetre à Keshin une faute. Une seule: lorsque la dague fusa, elle rata sa cible de quelques centimètre.

Mais Tarabas ne commit pas cette erreur, et il plongea sur l'assassin, les bras en croix afin de les passer entre son de son ennemi, et de les écarter d'un coup sec, rendant la gorge vulnérable l'espace d'un instant.
Continuant sur sa lancée, l'Innomable planta ses dents dans le cou de son adversaire, saisissant la tranchée entre ses solides machoires avant de serrer d'un seul coup.

d'un violent coup de point, j'écartait tarabas de ma gorge, mais celui-ci avait déjà eu le temps de la mordre, je perdait mon sang rapidemment, de plus ma blessure au pousse était plus que critique, je ne pourrais plus utiliser une de mes dague correctement même si j'était ambidex.

Tarabas avait un sourire triomphant et carnassier sur le visage, il rigolait, il avait ressut beaucoup plus de coup que moi et il rigolait, mais bizzarement les blessures ne semblais pas l'atteindre, à chaque fois, il se régénairait, décidemment, j'avait trouvé un adversaire plus que puissant.

mes forces me quittait petit à petit, je me vidais de mon sang, il fallait que je fasse quelque chose, ou j'allait perdre à coup sur se combat.
Habituelement, le problème ne se serais pas posé, j'aurais rapidemment avalé une potion de soins de fassons à me régénérer, mais les potions était t'elle autorisé dans se genre d'affrontement?

Pendant que je réfléchissait sur mon sort, la foule était devenue carrément hystérique, hurlant leur désire de voire encore plus de sang coulé et que tarabas remporte la victoire.

Avec un sourire je me relevait ignorant la sang qui coulait le long de mon corps en partant du coups et m'adressait au présentateur, qui était casimment hypnotisé par se combat méttants en scène des combattants plus que puissant.

"Les objets s'ont il autorisé dans l'arène?"

tous en posant la question, ma dague réstait a l'affut dans ma main ou mon pouce était encore capable de servire en cas de besoin, si Tarabas m'attaquait lachement pendant que je parlait, je serait près à le recevoire.

Le présentateur ne repondit pas pendant quelques instant cherchant dans un étrange livre couvert de poussière, il répondit qu'il était marqué que tous les coups était permis et donc les objets aussi.
Bien, voila qui allait changer la donne du combat, rapidemment, je sortait une potion qui était positionné sur ma ceinture, et la but.

Mes blessure se refermais alors qu'un allo bleuté apparaissait autour de moi, rapidement, je senti mon energit revenire.

Il fallait maintenant que je m'occupe de mon adversaire, aussi terrible soit il.

d'un geste, avec un rapidité extrème du a mes longue séance d'entrainement, je foncais non pas sur tarabas, mais sur son épée qui était tombé au sol l'hors de m dernière action, l'envoyant valdinguer dans la foule des spéctateur, hurlant leur peur.

La lame s'enfonca profondément dans les gradin, empéchant toute personne non entrainé de la retié.

je regardait maintenant Tarabas, souriant, près à encaisser sa future attaque.

Le sombre rodeur respirait lentement, aspirant et rejettant l'air qui flottait autour de lui, sans se préoccuper de rien. Ses yeux se fermèrent l'espace d'un instant, et il aspira à nouveau une bouffée d'air. Son corps se contracta violement, et ses yeux s'ouvrirent, révélant deux longues pupilles jaunatres, telles celles des loups. D'un mouvement vif, et puissant, il se recroquevilla sur lui même, et plongea en avant, dans un hurlement terrifiant.

Keshin esquiva d'un bond, mais une seconde trop tard, et la lourde main s'abbatit avec violence sur son estomac, heurtant de plein fouet la ceinture d'où les fioles vollèrent avant de s'écraser sur le sol. Par chances certaines restèrent intacts, mais d'autres, brisées, vidèrent leur précieux contenu sur le sable de l'arène.

Oups, pardon, je suis si maladroit.......Murmura Tarabas avec un large sourrire froid.

Sans attendre, il bondit à nouveau dans les airs, griffant, et mordant tel une bête affamée. Les coups pleuvaient avec une fureur incroyable, et l'assassin devait esquiver sans cesse au risque d'être tranché par les griffes de son impitoyable ennemi. Parfois il tentait de rendre un coup, mais les crocs se refermaient dans le vide à quelques centimètres de ses mains, lui interdissant tout geste brusque.

Telles deux tornades enragées, les combattants vibraient, et fusaient avec fureur sur le sol devenu brulant de l'arène, sous les cris joyeux des spectateurs. Dans les yeux de tarabas toute lueur d'humanité semblait avoir disparut: il ne se battait pas comme un loup...il était un loup!!!

D'un coup violent, l'assassin espédia son genou dans le menton de son adversaire qui volla au loin, propulsé par la fureur du coup, avant de se relever avec lenteur, un large sourrire aux lèvres.
sans attendre, il repassa à l'attaque, serrant dans ses mains ce qu'il semblait avoir rammassé.
Se souvenant de l'attaque du sable, Keshin pivota, et recula en hâte, alors que le sombre combattant ouvrait ses mains dans sa direction.

Il n'y eut ni sable ni poussière qui jaillirent des paumes rudes de l'homme, et durant quelques micro-secondes Keshin se demanda s'il ne faisait pas une divertion pour cacher autre chose.
C'ezst alors que les longs morceaux de verre rammassés sur les débrits des fioles se plantèrent dans la peau douce de son visage, perçant sa chair, et faisant couller le sang dans ses yeux.

Aveuglé, hurlant sa douleur, l'assassin ne put qu'entendre venir la frappe de son monstrueux ennemi, et son souffle se figea, alors que le poing de Tarabas lui heurtait l'estomac avec violence avant que celui-ci ne prononce un mot étrange.
Une onde de choc balaya l'arène, et Keshin fut espédié avec force contre les barreaux qui séparaient les combattants des spectateurs, alors qu'il sentait ses os se crisper sous la violence du choc.

A peine avait il ouvert les yeux, essuyant le sang qui luyi coullait sur le visage, que le pied de L'Innomable lui attérrissait dans le nez, provoquant un craquement sonore, avant que celui-ci ne plonge en arrière, en grondant tel un fauve à visage humain.

Un petit garçon était perdu dans la forêt......
Il se baladait...tout seul....tout seul.....
Un petit garçon par ci....un petit garçon par là......
Et quand le loup passa, le petit garçon n'était plus là.....

la douleur me paralysait, beaucoup mieux que n'importe qu'elle lien l'aurait fait, je devait avoir plusieurs fractures, sur tout le corps, Tarabas, apparement très fier de son attaque resplendissait d'une joie mélé a de la haine, les barreaux de l'arene dans mon dos me fesait extrèmement mal, pendant plusieurs seconde je restait la, puis, je me relevais, le visage sanguilionnant, mais avec un sourire au coin des lèvres, et je murmurais:

"Mon pauvre amis... la douleur n'est rien, tout se que tu à pus m'infliger aujourd'hui, je l'ais ressentie en milles fois pire ne serais-ce uniquement pendant mes entrainement"

En effet, depuis que j'avais rejoins la guilde des assassins, j'avais appris a passer outre la douleur, pouvant encore combattre avec l'agilité d'une panthere et la force d'un ours alors que la plupart de mes membres était en miette.

Lentement, je relevais mon visage, révélant mes yeux abithuelement violet claire qui se foncais à vue d'oeil, devenant entre le violet et le noir, mes potions était encore au sol, mais qu'importe, je pouvait bien me battre sans.

Les multiple contusion dus aux attaques de tarabas, je pouvais les ignorer, un fin filet de sang coulait soudain, on remarquais qu'un bout de vers était planté dans mon oeil, de quoi rendre aveugle normalement nimporte qui, mais d'un geste, je l'arrachais sans le moindre cris ou le moindre signe qui pouvait montrer une qouleur quel quel soit.

Le fin filet de sang rouge qui en sortait commencais à tomber vers ma bouche, traversant tout le visage en partant des yeux mais d'un rapide coup de langue, j'arrêtait sa progression.

"Bien... passons au choses serieuse."

Plus vife que n'importe qu'elle annimal, les loups y compris, je chargeais tarabas, mais au moment ou j'arrivais en face de lui, et qu'il s'appretait se défendre grace, a comme son habitude de violents coups, je déviais ma trajectoire, me retrouvant sur son coté, avant qu'il n'ais le temps de réaliser, je lui avait planté une dague dans le dos, et une dague dans le ventre, tout en enchainant sur de violent coup de pied et de point, combient je possédait de dague en tout? sa personne ne le savait, mais suffisamment pour rendre un adversaire hors de combat.

En même temps que mes coup pleuvais avec une rapidité et une force hors du commun, je récuperais mes dague pour les replenter à nouveau, Tarabas, essayait de me contrer mais a chaque fois, j'esquivait son attaque et contrataquais, tros rapidemment pour esperer autre chose que bloquer... et encore.

Se petit jeu dura encore pendant quelques minutes, Tarabas privé d'un autre mouvement possible que se défendre, et recevoir des coup de dague dans le corps.

Soudain, une violente explosion retentit, au moment même ou la dague violete claire avait transpèrcé a chaire, l'expédient à plusieurs mêtre de la.

De nombreuse contusions était visible sur son corps ainsi que des litres de sang qui coulait dans le dos et le corps du "loup".
De plus, l'explosion l'avais apparement assez gravement brûlé.

un petit sourire apparut au coin de mes lèvres, allait il se relever?

Le poison était violent, et les blessures mortelles. Le corps de L'Innomable s'agitta un instant, avant de s'immobiliser. Le sang coullait sur le sol, et les os craquaient en cadence, alors que sa respiration ralentissait à vue d'oeil. Ses yeux se fermèrent, et ses poings cessèrent de se durcir: était ce fini? Allait il mourrir maintenant? Lui, Tod le loup, la terreur des ruelles? Il était l'Innomable...il ne pouvait perdre...il ne pouvait....sa respiration ralentit à nouveau: il allait échouer, c'était fini.....

Lentement, il baissa la tête vers le sol, et de lourdes larmes sallées perlèrent de ses yeux. Son corps s'affassa, et il se recroquevilla comme un animal blessé attendant le coup final.
Keshin eut un sourrire victorieux, et rangea ses armes, en levant les bras. Mais déjà les cris retentissaient dans la salle: on demandait la mort de celui qui avait fait coullé tellement de sang.

L'assassin hésita un instant: abbattre un homme sans défense n'était pas dans ses habitudes. Pourtant lui laisser le temps de guérir risquait d'être une erreur lourde de concéquences dans les prochaines secondes. Résigné, il s'avança vers Tarabas, et leva sa dague avant de l'abbatre avec brutalité.

C'est alors que le loup bondit, roullant sur lui même jusqu'à percuter de plein fouet les jambes de son agresseur, le destabilisant l'espace d'une seconde. Avec une violence inouie, le sombre rodeur se propulsa sur ses pieds, percutant le menton de son adversaire, et lui ejectant une onde de choc magistrale qui l'envoya voller à plus d'un mètre dans les airs.
Keshin avait le souffle coupé, et il sentit distinctement sa machoire se briser sous la puissance du coup.
Jamais l'assassin ne retomba au sol, car déjà son adversaire l'attendait au point de chute, et lui expédia un second coup d'une force collossale, avant de lui saisir les jambes, et de le claquer contre les lourdes grilles de l'arène.

La mort à genoux....tu connaissais pas?

L'Innomable était debout, le corps suant, et sanglant, mais il était debout. L'assassin se redressa en poussant un cri de douleur, et se remit en garde. Tel un faucon, il fusa sur sa proie, et frappa, allignant des frappes vives, et puissantes sans que son adversaire ne puisse riposter. C'est alors que Tarabas se laissa tomber sur le sol, pliant les genoux, et frappa avec vigeur dans les genoux de son avdersaire juste au niveau de l'articulation.
Un craquement léger se fit entendre, mais Tarabas ne laissa pas son ennemi riposter: d'un geste violent, il lui saisit les parties génitales entre les dents, et mordit, faisant couller le sang, avant de se redresser, et d'expulser l'assassin par dessus son dos.

Keshin mit quelques longues secondes à se redresser: tout son corps n'était que souffrance. Cet homme n'était pas un guerrier: il n'était qu'un animal, un loup vorace, et fou.
C'est alors qu'il s'aperçut que l'Innomable venait de récupérer son arme parmis les débrits de l'estrade où elle était plantée, et qu'il cachait quelque chose à sa ceinture.

Les deux hommes étyaient hors d'aleine, épuisés, et brisés. N'importe quel combattant serait mort sous à peine la moitié des blessures qui les recouvraient, mais ils étaient encore debouts.
L'innomable eut son éternel sourrire, et essuya le sang qui lui coullait sur le visage d'un geste nonchalent.

je regardais Tarabas, épuisé par le combat, meurtris de blessure, nous étions tous les deux à bout de souffle, quasiment mort, mais le combat continuais et s'éternisait, de longs filet de sang coulait sur mon visage et sur la plupart de mon corps, je repensait alors a mon entré à la guilde des assassins, j'était alors encore très jeune, les assassins qui était présent ne me voyait pas d'un très bon oeil, jamais une personne si jeune n'avais été recruté, mais le maître de la guilde avait sus percer mon talant.

Alors que j'entrais, j'avait combattus contre lui, comme une sorte de teste, par sa rapidité et sa force, il m'avait totalement écrasé, les aiguille qu'il plantait dans mon corps ne perçais pas ma peau, ni ma chaire, mais mon âme, m'infligeant 1000 et 1 supplice, une douleur que je n'avait jamais éprouvé, et que j’espérais ne jamais plus éprouver.

La douleur actuel du a mon combat avec Tarabas n'était rien, guère plus insignifiant que qu'un chat face à une panthère, j'avais beau être meurtris, la pensé de se souvenir qui sonnais a la fois comme un mauvais et un bon, m’avais redonné de la force, suffisamment pour je l'espérait vaincre mon adversaire qui avait un sourire sur le visage.

A mon tour je me mis a sourire, avant de prononcer d'une voix douce et mélodieuse:

"la douleur que tu m'a infligé depuis le début du combat n'est rien... j'ais déjà subit 1000 fois pire. "

discrètement, je regardait mes potions qui était maintenant éclaté contre le sol pour la plupart, seul certaine était resté intacte, il y avait la divers fiole, du poison, du soins, d'habitude, grâce a mon expérience j'arrivais a les reconnaître, mais la.. dans le feu de l'action, je n'avais guère envies de prendre le risque de m'empoisonner.

bien, il faudra donc compter uniquement sur mes capacités, sans potion, a moins que je m'approche assez près pour les reconnaître.

Sans laisser le temps à mon adversaire de réagir, je lançais 2 shurikent dans deux des extrémités de l’arène, et fonçais sur mon adversaire, celui-ci, qui avait récupéré son arme tenta de me contrer grave à un rapide mouvement, mais pas assez rapide, je me trouvais déjà derrière lui, et tentais de lui asséner un coup de dague, du moins c’est se que je voulait faire croire, ayant déjà subit une attaque similaire, il barra ma dague grâce a son épée, mais ne put esquiver mon coup de pied.

Il reculât de quelques mètres, sous l’effet du coup, mais au lieu de garder son équilibre, il sembla se prendre les pieds dans quelque chose, et s’effondra au sol complètement déstabilisé.
Je jubilait, ma ruse avait fonctionné, grâce au deux shuriken j’avais tendu un file assez bas en travers de l’arène, et tarabas en reculant c’était pris les pied dedans, il était maintenant au sol, vulnérable. Vue les blessures que je lui avait déjà infligé, je serais étonné qu’il se relève, mais avec lui, autant ne pas prendre de risque, d’un bond assez grand, je me retrouvais au dessus du corps de tarabas, j’allait lui retomber dessus pour l’achever, étant positionner a la verticale par rapport a son corps allongé, je lançais un slave de shurikent et me préparais à lui tomber dessus, la dague en avant, près à dévier ma trajectoire si il mettait son épée pour que je tombe dessus et m’empale.

Cette fois… si il se relevais, c’était la dernière.

Le rodeur était au sol, sur le dos, les pieds emmélés dans une sorte de fil métalique plus solide que le roc, et la situation semblait être désespérée. Les secondes sembvlèrent être des heures, alors qu'une à une les images représentant la vie de celui qu'il avait été lui revinrent en mémoire. Il revit sa famille, il revit les combats livrés, il revit les loups qui l'avaient acceuillis comme l'un des leurs.....il revit sa soeur, mourrante dans son lit taché de sang. Il la revit cent fois l'implorer, et le supplier de la sauver....il était là, immobile, et inutile....elle était morte sans même qu'il n'ait put la prendre dans ses bras...

Ses yeux se fermèrent, et se rouvrirent violement, alors depuis sa gorge un hurlement jaillit, ébranlant la pièce par sa force, et sa fureur. Pour Elle il allait se battre, et pour Elle il allait vaincre!!! Elle était morte par sa faute. Elle avait toujours tout donnée pour lui. Alors il allait tout donner pour son souvenir!!!
D'un geste vif, l'Innomable saisit à sa ceinture les épaix morceaux de bois rammassés autour de son épée, parmis les débris, et les projeta avec force sur les shurikens, bloquant une partie, déviant les autres, avant de panter les deux derniers dans le sable de l'arène, le bout pointu vers le haut.

C'est alors que sur son visage fut illuminé un rictus si horrible que jamais on ne put y dicerner un sourrire, et il frappa le sol de ses coudes, provoquant une onde de choc dans son dos, et le propulsant dans les airs à la rencontre de son ennemi.
Les dagues, et les shurikens parcourrurent sa chair déjà souillée par l'acier, mais il n'y pretta pas attention, et frappa dans le ventre de l'assassin, visant les parties vitales.
La lourde lame perça les muscles, et la chair sans difficulté, brisant les os, et broyant les ners, avant de terminer sa macabre course en plein milieu des cotes où elle se figea dans un craquement.

Tarabas retomba au loin, sans forces, dans le sable qui rentra dans ses plaies, lui faisant pousser un cri.
Se redressant avec difficultés, il s'appuya sur la grille d'acier, et observa son adversaire, en alletant.
Keshin, s'effondra à son tour, mais avec une telle grace qu'il parvint à rester sur ses pieds au moment de l'impact, et à se retourner vers le rodeur. La lourde épée batarde l'avait percé depuis le bas ventre jusqu'à la limitte du poumon droit, trassant une longue piste sanglante sur le corps déjà bardé de cicatrices. Pourtant il était debout.

L'Innomable éclatta de rire. Un rire gras, et long, entrecoupé de toux douloureuses qui le firent grimacer. Il continua à rire, alors que tous les spectateurs restaient éceourés d'un tel combat, et se pencha en désignant le sol sur lequel Keshin s'était dressé. L'assassin baissa les yeux, et vit une mer de sang tacher le sable, tandis que son pied s'était posé précisement sur l'un des morceau de bois planté par Tarabas. Les os avaient été transpersés sous le choc, et les chairs palpitaient encore, projettant des collones de sang à quelques centimètres du membre blessé.

Le rodeur acheva de se pencher, et rammassa délicatement l'un des Surikens de l'assassin, avant de viser précausionnesement, et de le lancer en direction de la jambes transpercée. Il avait visé la cheville, suffisement haut pour que le pied ne puisse être soustré à l'attaque.
Son corps trembla, et il s'affalla en arrière, épuisé, mais sourriant. Peu à peu ses blessures guérissaient, et même si son adversaire se tirrait de ce mauvais pas, il lui resterrait juste assez de vie pour lui arracher la gorge, avant de mourrir sur le sable chaud de l'arène....

Le shuriken, termina sa course en plein de ma cheville, il était profondément enfoncé, perforant ma cheville, je n’avait pas fait le moindre mouvement, pour ne serais se que tenter de l’esquiver, trop fatiguant, la douleur lancinais la moindre parcelle de mon corps entaillé de toute part, les contusion de mêlant au sang dans un horrible mélange, cependant, un petit sourire au coin de lèvre était toujours présent, comme à mon habitude, comment avait il trouvé la force de contrer mon attaque ? comment cela se faisait il qu’il ais put riposter ? j’ignorait la réponse, je ne réfléchissait pas vraiment sur la question, me contentant de constaté, nos corps était meurtris de toute par, il devait y avoir autant de sang que de contusion sur les malheureuse chose qui nous servait de corps, mais qui ressemblait plutôt à une monstruosité défiguré, tellement, nous avions reçut des coups de toute part.

Je restait immobile pendant se qui semblais plusieurs heures, mais qui devait être en réalité seulement quelques minuscules seconde.
J’était salement amoché, avec une épée planté dans le ventre, des entailles partout, un shuriken dans la cheville et divers autres blessure, qu’il serait inutile de citer, ne serais-ce que pour une question de temps. je ne doutait pas que l’arme de Tarabas, qui était rentré dans mon corps comme du papier devait avoir touché des organes interne, pourtant la douleur me paraissait lointaine, comme dans un rêve, j’avais l’impression de voire la scène de l’extérieure de mon corps, tout bougeant au ralentie, chaque mouvement, chaque bruit m’apparaissant au ralentie, je voyait la foule hurler, mais j’était incapable de distinguer les paroles… trop lentes.

Tarabas n’avais pas fière allure non plus, mes dague, ainsi que mes shuriken lui avait percé le corps de part en part, il avait plusieurs projectile encore planté dans son corps malmené, il y avait également une de mes dague, mais je n’avais aucun soucie quand au faite qu’il me la vole, si il la touchait, le charme la protégeant le tuerais, tout comme moi, il crachait du sang à intervalle régulier, je l’avais sérieusement malmené, tout comme il l’avais fait pour moi, retour de politesse ? sûrement.

Une léger vent, sortie d’on ne sait où se mis a souffler, emportant avec lui un peut de sable, formant de petits nuage jaune orangé qui traversait l’arène, ou il n’y avait manifestement plus aucun mouvement, la scène semblait complètement figé, ou était-ce moi qui divaguait ? possible… voire probable.

Déployant de gros efforts, je réussi à tourner ma tête vers les gradins de l’arène, regardant ceux, qui nous avait depuis le début regarder, par mis les spectateur, je put reconnaître plusieurs personne, dont le maître de ma guilde, était il venus voire notre combat ? un honneur rarement donné, cela venait il du faite que j’était le second ? je n’eu pas le temps de m’éterniser sur la question, déjà j’avait reconnu le visage suivant, Oniryu, décidément, notre combat avait attiré du monde, et du beau monde.
J’aurais bien essayé de regarder les autres personnes que je connaissait, mais cette exploit était impossible…ma vue commençais à se troubler.

Grâce à un effort d’esprit hors du commun, je réussit à reporter mon attention sur mon adversaire, qui tout comme moi, ne semblait amorcer aucun mouvement pour m’attaquer.
Trop fatigué ? je l’espérait, car il ne faisait aucun doute qu’une autre attaque serait sûrement fatale.

Machinalement, je portait la main à ma cuisse gauche, plus de dague, évidement, elle était planté dans le ventre de Tarabas. La cuisse droite ? Même chose, mais cette fois, je savait qu’elle n’était pas dans le ventre de mon adversaire, j’avais réussi à lui planter une seul dague, pas deux. Du regard, je balayait l’arène à la recherche de mon arme tant convoité.
Elle se trouvait là, quelque mètres plus loin, assez rapproché de mes potions.
Elle brillait d’un petit éclat violet très claire, cette arme qui m’avait été offerte par le maître de la guilde en personne lors de mon entré, il fallait déjà que je réussisse à la prendre, cette arme, qui jusqu'à maintenant, ne m’avait jamais trahit, plus fidèle que n’importe quelle membre de ma guilde.

Soudain, je fut pris d’une crise de tout, tombant à genoux sur le sol, crachant du sang, à intervalle régulier sur le sable, j’avais l’impression de me vider de mes propres entrailles.
Allais-je mourir comme sa ? bêtement contre l’homme le plus rechercher par les assassins, je me souvenait vaguement de la prime… 10 000 galions…je commençais à comprendre comment il avait fait pour les valoir.
Allais je mourir ? comme sa ? sur le sable… moi qui avait été le plus jeune assassin jamais recruté, et le plus jeune second ? moi ? un des meilleur membre de la guilde…
Non, se serait vraiment trop bête, en tout cas, pas contre lui, à grande pêne, je me relevais, Tarabas me regardait, tournent lentement la tête suivant mes mouvements en même temps que je m’approchait de ma dague, au sol, jusqu'à la saisire.

J’avait maintenant ma dague à la main, bravo ! et maintenant ?, qu’elle était mon équipement ? encore 5 shuriken, quelques mètres de file, et deux dague, une caché dans ma manche, qui n’avait rien de spéciale, et ma dague violette.

Un petit rictus apparut sur mon visage, c’était la fin, sois moi, sois lui allions perdre.

Je réunit toute la force d’ont j’était capable pour lancer quatre shuriken sur mon adversaire qui était près du grillage, il ne bougea pas d’un pouce, il était vraiment fort, pour ne pas bougé, il avait tout de suite vue que mes projectiles n’était pas cadré, en effet elles passèrent toute à coté formant un carré partant de ses épaules a ses jambe, enfin, je lançais ma dague, la simple, celle qui était dans ma manche, la non plus il ne fit rien, un rictus du au plaisir de me voire rater ma cible était apparut sur son visage, mais quand la dague passa au travers du grillages, il compris, les shuriken et la dague était relier par un fine corde de la même matière qui m’avait servit précédemment pour le faire tomber, la dague m’avait servit pour tendre le file, il était maintenant attaché, ne pouvant plus bouger les pieds ni les bras, et les cordes était bien trop bas pour qu’il pense pouvoirs se servire de ses dent, les shuriken et la dague était passé derrière les grillage, et était solidement planté, impossible de les arracher pas la force brute, de plus, le file que j’avais utilisé était beaucoup plus solide que du normale, il ne pourrait pas le casser…

Le sourire au coin de mes lèvres qui était là depuis le début du combat disparut, pour la première fois.
Je pris le dernier shuriken, et le lançais, à cette distance, même gravement blessé, je ne pouvait pas rater ma cible, et en effet, il se planta dans la gorge de Tarabas, lui provoquant un hoquet, et lui faisant cracher un mince filet de sang.

J’avais toujours ma dague violette à la main, mais je doutait maintenant de son utilité, lentement, je tombait en arrière et m’effondrais sur le sole, regardant en l’aire, baignant dans mon propre sang ,et mes divers blessure continuait à alimenter cette petite mare qui se mélangeais avec le contenue des potions brisé à coté de moi.

Le corps du rodeur fut secoué d'un atroce soubressaut, alors que les filets de sang continuaient à couller de toutes les parties ouvertes de son corps. Ses poumons inondés de sang se vidaient au fur et à mesure sous la régénération naturelle, mais celà ne semblait pas suffir et peu à peu ses yeux se fermaient, le menant irrémédiablement vers la fin...vers la mort....
Le Shuriken avait été parfait, visant avec précision, l'assassin n'avait pas raté son coup, si ce n'est de quelques millimètres vers la gauche, ne tranchant ainsi ni la tranché si la carotide, mais bloquant le tuyaux de respiration, condamnant ainsi Tarabas à l'asphixie.

L'air lui manquait, et ses muscles ne lui obéissaient plus. Lentement son coeur ralentissait, et le peu de sang qui lui restait se vider par gros bouillons. Pourtant, il restait calme, et serein. Il ne ressentait ni peur ni exitation face à cette grande inconnue qui effrait tant de mortels. Dans ses yeux la lueur ne s'était pas éteinte, mais au contraire avait grandit telle une bougie sous un vent faible, et doucement, il tourna la tête sur le coté.
Quand il sent la mort venir, un loup se recroqueville, et ferme les yeux. Il n'était pas un loup....
Avant de mourrir un homme pense à tout ce qu'il a vu de bien dans sa vie. Il n'était pas un homme....

D'un geste lent il positionna l'une des lames du shriken dans l'un des trous du grillage, et laissa violement sa tête retomber en arrière, arrachant l'arme de sa chair, avant d'aspirer gouluement l'air emplit de sang.
Son coeur accéléra, et ses muscles irradièrent des vagues innombrables de douleur. Depuis la plaie béante de sa gorge, et veines ressortaient tels de minuscules serpents innoffensifs, et les flots de sang s'étaient tarris, alors que les hamas de plaquettes tentaient de retenir le peu de liquide vital qu'il restait encore à l'interrieur du corps.
L'innomable halletait, et sur son visage son éternel sourrire avait disparut, alors que ses yeux se fermaient. Dans un dernier soupir, il prononça un mot, un mot inaudible, un mot poussé si faiblement que même lui n'entendit pas ce qu'il avait put murmurer. Une dernière fois il avait fredonné le nom de sa soeur si longtemps chérie, et il se laissa aller.

Son être s'affalla, sa peau devint blanche comme les draps que l'on vient de nettoyer, et ses dents se serrèrent une dernière fois.
C'est alors qu'il la vit. Ses cheveux brillaient sous le soleil, sa robe blanche flottait dans le vent, et ses yeux pétillaient d'autant d'amour qu'autrefois. Elle riait, et lui tendait les bras, l'incitant à la suivre, à la rejoindre. Il ne pouvait entendre ses parôles, mais il pouvait presque la toucher, sentir la main contre la sienne. Presque....
Son bras se dressa, mais il ne parvint pas à le lever. Tirrant, et pestant sur son corps immobile, il la vit reculer dans la lumière, et l'appeller avec espoir.
Hurlant avec colère, il poussa un cri de rage, et lança son nom au vent qui le lui recrcha au visage.

Des larmes collèrent sur ses joues. Il allait la perdre une fois de plus....NON!!!! JAMAIS!!!!! Tous les muscles de son corps se bandèrent, et il se mit en marche. Le premier pas fut difficile, et des milliers de lames traversèrent sa chair. C'était comme si un fil indestructible l'empéchait de rejoindre celle pour qui il aurait tout donné, celle qui avait toujours été là pour lui, et pour qui il n'avait pas été là quand il le fallait.
Ses os crquaient, ses muscles suaient, sa peau saignait, et loin, très loin dans les profondeurs de l'univers un craquement se fit entendre.
Son corps, si vague soudain, lui envoyait des signaux de détresse, et soudain il fut projeté en avant, alors que le grillage lui même avait cédé sous la pression.

S'écroullant par terre, Tarabas tendit la main vers le néant, regardant disparaitre la silhouète de sa tendre soeur, et tout redevint noir. Sa respiration retrouva son rythme normal, et il sentit le sable bruler ses blessures ouvertes, alors qu'il était là, allongé sur le sol de l'arène. Derrière lui les lourdes barrières le séparant des spectateurs avaient subies un choc intense,faisant sauter des mailles, et le libérant des fils d'acier qui lui avaient tailladés la chair. N'importe qui serait mort....mais lui ne l'était pas. Pourquoi? Pourquoi semblait on lui interdire à tout jamais le repos au coté de celle qu'il désirait tant revoir?
Ses dents se serrèrent, et la colère envahit son esprit. Son corps se mit à trembler, et la douleur devint plus forte. Mais plutot que de le calmer, cette sensation fit croitre sa rage, comme s'il se nourrissait de ses propres souffrances pour en tirrer les forces nécessaires à la destrcution qu'il souhaitait engendrer.

Son regard meurtrier se posa sur Keshin, et le sang coulla de sa bouche.Sa respiration s'accéléra, ses bras poussèrent le sol avec forces, sans être capables de le relever. Ses dents se serrèrent avec tant de force que des éclats d'émail vollèrent en tout sens, alors que centimètres par centimètres il se dressait sur ses genoux, puis sur ses pieds.

Tel un zombie il se traina sur le sol poussiéreux jusqu'au seul homme capable selon lui d'être responsable de sa tourmente, et lorsqu'il arriva devant l'assassin, il se laissa retomber, et serra son poing, avant de frapper.
Les os rencontrèrent le visage frèle, et un sinistre craquement retentit. Hurlant comme un dément, et sourriant sous la douleur, Tarabas alligna un second coup, avant qu'une nouvelle douleur n'irradit son flant gauche:d'un geste vif Keshin avait planté sa seconde dague dans ses chairs. Pour ne pas le laisser la retirrer, l'Innomable sait le poignée de son ennemi, et le maintint avec force contre lui, alors que son second bras continuait à briser, et à déchirer tout ce qu'il pouvait trouver sur son passage.

Ses forces ne le quittaient pas, et il frapper sans discontinuer, mordant tout ce sur quoi ses crocs pouvaient se poser, alors que le reste de son corps semblait immobile, et sans vie.
Il continua à se défouller sur son adversaire, tel un loup furieux, tandis que la dague tournait dans ses entrailles, provoquant des dégats irréversibles. Mais il n'en avait cure: s'il devait mourrir, Keshin partirait avec lui.....

Il était L'Innomable...il était Tod le loup....il était Tarabas......et il était tout sauf humain....

Ok fini on va voter . Donc faites vous plaisir !

Personellement j'ai beaucoup aimé , et je vote un match nul ^^ (ezn plus vous etes morts tout les deux lol) Donc voila ^^

pareil match nul mais c'était super

Quel combat !! Il faut qu'ils aient la même récompense ! trop trop bien !!! MATCH NUL

Invité

Tarabas, tu est une vrai "Drama Queen"... Rolling Eyes

Je ne suis pas MJ mais je tirnt à apporter mon soutient au vote "matche nul", c'était magnifique. Very Happy

tout le monde peut voter Wink

Invité

Ah bon ? Je croyais que c'était réservé aux MJs...bon ben maintenant je le saurais...

Enfin bref, officialisont tous ça alors : JE VOTE MATCHE NUL !!!!

Les gardes avaient jaillis pour relever les combattants, usant de longs batons de bois afin de les séparer. L'Innomable poussa un grondement terrifiant, et saisit l'un des manches, avant de le briser d'un violent coup de coude.
Les hommes s'écartèrent, puis finirent par se rassembler afin d'encerrer lee sinistre rodeur entre leurs bras puissants. Le trainant tant bien que mal, ils le firent reculer de quelques mètres, laissant Keshin se relever avec difficultés. Tarabas serra les dents, et mordit violement dans les mains qui le retennaient, se libérant facilement de leur emprise.

D'un pas lent, il approcha de l'assassin, et retirra l'épée de son trose d'un geste vif, et puuissant, lui arrachant un hurlement de douleur, avant de s'éloigner d'un pas trainant.

La prochaine fois, silffla t'il entre ses dents, sache que je ne t'épargnerais pas....dis à ta guilde que je les massacrerais tous....jusqu'au dernier de leurs enfants.....

Puis il disparut dans l'ombre du couloir, en alletant.

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